Pas d'estimation fiable pour l'ensemble du pétrole déversé. L´International Oil Spill Conference, dans l'un de ses documents« Copie archivée » (version du sur Internet Archive) et citant un document de 1998 écrit par MM. Omar, Briskey, Misak et Asem avance une perte totale de plus de 60 millions de barils brûlés ou déversés sur le sol. La Federal Research Division of the Library of Congress (accessible en ligne dans un résumé des Country Studies) avance quant à elle un chiffre de 150 millions de barils. L'EPA américaine estime à la mi-1991 que 3 à 6 millions de barils ont brûlé par jour au plus fort des incendies.
Pas d'estimation fiable pour l'ensemble du pétrole déversé. L´International Oil Spill Conference, dans l'un de ses documents« Copie archivée » (version du sur Internet Archive) et citant un document de 1998 écrit par MM. Omar, Briskey, Misak et Asem avance une perte totale de plus de 60 millions de barils brûlés ou déversés sur le sol. La Federal Research Division of the Library of Congress (accessible en ligne dans un résumé des Country Studies) avance quant à elle un chiffre de 150 millions de barils. L'EPA américaine estime à la mi-1991 que 3 à 6 millions de barils ont brûlé par jour au plus fort des incendies.
En juillet/août seuls 249 puits auparavant en feu ont été contrôlés (source EPA), plus de 500 au 1er octobre (source EPA), les derniers incendies sont maîtrisés en novembre. Le contrôle des puits est rendu plus difficile par la présence de mines antipersonnel déposées intentionnellement autour de certains d'entre eux afin de ralentir les équipes de secours (sources : IOSC« Copie archivée » (version du sur Internet Archive), EPA).
nepis.epa.gov
En juillet/août seuls 249 puits auparavant en feu ont été contrôlés (source EPA), plus de 500 au 1er octobre (source EPA), les derniers incendies sont maîtrisés en novembre. Le contrôle des puits est rendu plus difficile par la présence de mines antipersonnel déposées intentionnellement autour de certains d'entre eux afin de ralentir les équipes de secours (sources : IOSC« Copie archivée » (version du sur Internet Archive), EPA).
Pas d'estimation fiable pour l'ensemble du pétrole déversé. L´International Oil Spill Conference, dans l'un de ses documents« Copie archivée » (version du sur Internet Archive) et citant un document de 1998 écrit par MM. Omar, Briskey, Misak et Asem avance une perte totale de plus de 60 millions de barils brûlés ou déversés sur le sol. La Federal Research Division of the Library of Congress (accessible en ligne dans un résumé des Country Studies) avance quant à elle un chiffre de 150 millions de barils. L'EPA américaine estime à la mi-1991 que 3 à 6 millions de barils ont brûlé par jour au plus fort des incendies.
En juillet/août seuls 249 puits auparavant en feu ont été contrôlés (source EPA), plus de 500 au 1er octobre (source EPA), les derniers incendies sont maîtrisés en novembre. Le contrôle des puits est rendu plus difficile par la présence de mines antipersonnel déposées intentionnellement autour de certains d'entre eux afin de ralentir les équipes de secours (sources : IOSC« Copie archivée » (version du sur Internet Archive), EPA).
Rosenker, Mark V., Sumwalt, Robert L., Higgins, Kathryn O'Leary et Hersman, Deborah A. P., « Marine Accident Report: Allision of Hong Kong-Registered Containership M/V Cosco Busan with the Delta Tower of the San Francisco–Oakland Bay Bridge, San Francisco, California, November 7, 2007 », National Transportation Safety Board, (lire en ligne [.PDF], consulté le )
Selon les estimations du gouvernement américain 25 % du pétrole déversé auraient brûlé ou auraient été directement récupérés au niveau de la tête du puits, 25 % se seraient naturellement évaporés ou dissous, 24 % se seraient dispersés en micro-particules dans les eaux du Golfe et 26 % sous forme de galettes se seraient déposés au fond ou auraient été rejetés sur les plages.
sfgate.com
Brian Hoffman, « The spill threatens to delay opening of crab season », The San Francisco Chronicle, (lire en ligne, consulté le )
Pas d'estimation fiable pour l'ensemble du pétrole déversé. L´International Oil Spill Conference, dans l'un de ses documents« Copie archivée » (version du sur Internet Archive) et citant un document de 1998 écrit par MM. Omar, Briskey, Misak et Asem avance une perte totale de plus de 60 millions de barils brûlés ou déversés sur le sol. La Federal Research Division of the Library of Congress (accessible en ligne dans un résumé des Country Studies) avance quant à elle un chiffre de 150 millions de barils. L'EPA américaine estime à la mi-1991 que 3 à 6 millions de barils ont brûlé par jour au plus fort des incendies.
En juillet/août seuls 249 puits auparavant en feu ont été contrôlés (source EPA), plus de 500 au 1er octobre (source EPA), les derniers incendies sont maîtrisés en novembre. Le contrôle des puits est rendu plus difficile par la présence de mines antipersonnel déposées intentionnellement autour de certains d'entre eux afin de ralentir les équipes de secours (sources : IOSC« Copie archivée » (version du sur Internet Archive), EPA).