Pour la maison de ville d'Auray (construite entre 1776 et 1782), les échevins exigent que le dallage et les marches soient en "pierres de Locmariaquer". « Armés d'une pareille clause, je soupçonne que les quatre entrepreneurs qui se succédèrent (...) ne se gênèrent pas pour saccager les dolmens et les menhirs de la contrée » écrit Gustave de Closmadeuc en 1892 ; il indique aussi qu'en 1825 plusieurs dolmens de Locmariaquer (ainsi que l'allée couverte du Luffang en Crac'h) servirent à la construction de la Chartreuse d'Auray et du Mausolée de Cadoudal< Louis Marsille, « À propos de deux mégalithes détruits.. », sur Bulletin de la Société polymathique du Morbihan, (consulté le )
Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
Le recours à un éclairage rasant qui accuse ces reliefs, permet de rendre plus visible les éléments qui permettent d'identifier le cachalot en le distinguant du reste des grands cétacés : la grande tête quadrangulaire et allongée, exposée lors de sa « navigation » ; le jet (ici reproduit en forme assez classique de « fontaine », avec un double jet d'eau symétrique ; la nageoire caudale en immersion, normalement horizontale, représentée tournée de quelques degrés. Cf Orthostate 1, tiré de Serge Cassen, « Le Mané Lud en mouvement. Déroulé de signes dans un ouvrage néolithique de pierres dressées à Locmariaquer (Morbihan) », Préhistoires Méditerranéennes, no 2, , p. 11-69.