« Il est bien certain que le duc de Vendôme portoit, surtout à la fin de ses jours, le libertinage, la malpropreté et la paresse, à un excès si prodigieux, qu'il est inconcevable que ces défauts ne lui aient pas fait plus de torts… »Voyer de Paulmy d'Argenson 1857, p. 129[lire en ligne].
« …Il se livra tout à son aise de tous genres de volupté qui lui étoient chers ; il se gorgea de poisson qu'il émoit à la fureur, fût-il bon ou mauvais, bien ou mal accommodé ; il but du vin épais, capiteux, fumeux, et gagna enfin une forte indigestion, ou plutôt une maladie, suite d'indigestions répétées, dont la diète et l'exercice auroient put être le véritable remède ». Voyer de Paulmy d'Argenson 1857, p. 133 [lire en ligne].
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Emmanuel Le Roy Ladurie, Jean-François Fitou, Saint-Simon and the Court of Louis XIV, University of Chicago Press, (ISBN9780226473208, lire en ligne), p. 109