Louis Becquey (French Wikipedia)

Analysis of information sources in references of the Wikipedia article "Louis Becquey" in French language version.

refsWebsite
Global rank French rank
3,051st place
182nd place
2,595th place
283rd place
124th place
14th place
1,851st place
169th place
6th place
63rd place
low place
low place
1,031st place
161st place
1,457th place
104th place
low place
4,501st place
low place
low place
1,823rd place
98th place
low place
1,719th place
low place
799th place
391st place
26th place
low place
1,141st place
low place
low place
low place
low place
5,088th place
low place
7,928th place
849th place
2,402nd place
187th place
441st place
1,611th place
7,726th place
4,752nd place
179th place
385th place
7,164th place
383rd place
9,470th place
629th place
515th place
37th place

annales.org

  • Sur le site internet des Annales des Mines, la carrière de Louis Becquey est résumée ainsi : « Louis Becquey, né à Vitry-le-Francois en 1760, décédé à Paris le 2 mai 1849, fut successivement membre de l'Assemblée législative en 1791, conseiller de l'Université en 1810, directeur général du commerce en 1814, député de la Haute-Marne en 1815, conseiller d'État en 1810 et directeur général des ponts et chaussées de 1817 à 1830. ». Texte repris de François-Pierre-H. Tarbé de Saint-Hardouin, Notices biographiques sur les ingénieurs des ponts et chaussées depuis la création du corps en 1716 jusqu'à nos jours, Paris, Baudry et Cie libraires-éditeurs, 1884, page 14, note 1 bas de page.
    Par erreur, certains auteurs assignent à Louis Becquey l’emploi de directeur de l’École des ponts des chaussées alors qu’il n’y fut jamais nommé (Voir par exemple, Xavier Bezançon, Rétrospective sur la gestion déléguée du service public en France (Actes du colloque des 14 et 15 novembre 1996 au Sénat), in « Revue française de droit administratif », supplément au n° 3, mai-juin 1997, Paris, Sirey, repris par le même auteur dans Les Services publics en France, de la Révolution à la Première Guerre Mondiale, Paris, Presses de l'École nationale des ponts et chaussées, 1997, page 201, ou encore Xavier Bezançon & Daniel Devillebichot, Histoire de la construction - Volume 2, Paris, Eyrolles, 2014, page 69). Durant la période où Louis Becquey est à la tête de la Direction générale des ponts & chaussées et des mines, le directeur de l’École des ponts et chaussées est Gaspard Riche de Prony

archive.org

  • Sur le site internet des Annales des Mines, la carrière de Louis Becquey est résumée ainsi : « Louis Becquey, né à Vitry-le-Francois en 1760, décédé à Paris le 2 mai 1849, fut successivement membre de l'Assemblée législative en 1791, conseiller de l'Université en 1810, directeur général du commerce en 1814, député de la Haute-Marne en 1815, conseiller d'État en 1810 et directeur général des ponts et chaussées de 1817 à 1830. ». Texte repris de François-Pierre-H. Tarbé de Saint-Hardouin, Notices biographiques sur les ingénieurs des ponts et chaussées depuis la création du corps en 1716 jusqu'à nos jours, Paris, Baudry et Cie libraires-éditeurs, 1884, page 14, note 1 bas de page.
    Par erreur, certains auteurs assignent à Louis Becquey l’emploi de directeur de l’École des ponts des chaussées alors qu’il n’y fut jamais nommé (Voir par exemple, Xavier Bezançon, Rétrospective sur la gestion déléguée du service public en France (Actes du colloque des 14 et 15 novembre 1996 au Sénat), in « Revue française de droit administratif », supplément au n° 3, mai-juin 1997, Paris, Sirey, repris par le même auteur dans Les Services publics en France, de la Révolution à la Première Guerre Mondiale, Paris, Presses de l'École nationale des ponts et chaussées, 1997, page 201, ou encore Xavier Bezançon & Daniel Devillebichot, Histoire de la construction - Volume 2, Paris, Eyrolles, 2014, page 69). Durant la période où Louis Becquey est à la tête de la Direction générale des ponts & chaussées et des mines, le directeur de l’École des ponts et chaussées est Gaspard Riche de Prony
  • Auguste Kuscinski, Les députés à l'Assemblée législative de 1791 : listes par départements et par ordre alphabétique des députés et des suppléants, Paris, Société de l’histoire de la révolution française, 1900, chapitre III, page 74 (NB : par erreur, l'auteur prénomme Becquey « François-Louis ») (sur le site Archives.org) (ouvrage téléchargeable sous format PDF à cette adresse sur le site Europeana collections).
    Voir également Courrier de l’Europe, gazette anglo-françoise, vol. 30, Londres, E. Cox imprimeur, n° 23, vendredi 16 septembre 1791, page 183 ; « nomination des députés à la première legiflature (…)Becquey, procureur-général fyndic du département de la Haute-Marne. »
    Sur les interventions de Becquey pendant les séances de l’Assemblée législative voir Archives numériques de la Révolution française > Archives Parlementaires> Rechercher « Becquey » (Stanford University Libraries & BNF).
  • Augustin Challamel, Les clubs contre-révolutionnaires : cercles, comités, sociétés, salons, réunions, cafés, restaurants et librairies, Paris, Maison Quentin, 1895, page 297 liste complémentaires des membres du club des Feuillants ; Becquey, orthographié « Becquet », est domicilié (à Paris) 18, rue de l’Échelle Saint-Honoré (sur le site Archives.org). Ouvrage également consultable sur le site Gallica de la BNF à cette adresse.
  • Marquis de Noailles, Le comte Molé, 1781-1855 : sa vie - ses mémoires, Tome troisième, Paris, 1924, p. 106.

archives-ouvertes.fr

hal.archives-ouvertes.fr

halshs.archives-ouvertes.fr

  • Voir F. Démier (bibliographie), page 267 et suiv.
    Sur le groupe des Doctrinaires, voir Charles-Hippolyte Pouthas, Histoire politique de la Restauration, Paris, Centre de Documentation Universitaire, 1957 (chapitre : Le personnel gouvernemental - section : Les partis politiques - § : « Les doctrinaires »). Voir également Xavier Landrin, Genèse et activités du groupe 'doctrinaire' (1815-1821) : contribution à une sociologie historique du libéralisme, in Antonin Cohen, Philippe Riutort, Bernard Lacroix (dir.), « Les formes de l'activité politique : éléments d'analyse sociologique (18e-20e siècle) », P.U.F., 2006, pp.211-226 (sur le site Archives ouvertes HAL) (NB : Par erreur, l’auteur fait figurer Louis Becquey comme membre du Corps législatif alors qu’il s’agit de son frère François).

bnf.fr

gallica.bnf.fr

data.bnf.fr

  • Par erreur, reprise par de nombreux auteurs jusqu’à nos jours, Louis Becquey est confondu avec son frère François Becquey à telle enseigne que la notice consacrée à Louis Becquey dans Dictionnaire des parlementaires français... depuis le 1er mai 1789 jusqu'au 1er mai 1889, Tome I, de « A à Cay », Paris, Bourloton éditeur, 1889, page 233 et suiv. (sur le site Gallica de la BNF) prénomme ce dernier « François-Louis » et le mentionne comme membre du Corps législatif alors qu’il s’agit de François. Cette erreur a été corrigée dans le Dictionnaire de biographie française (bibliographie), Tome cinquième, Paris, 1951, qui termine la notice consacrée à « BECQUEY (Louis) » par le commentaire « L'essentiel de ses publications se trouve au catalogue des imprimés de la Bibliothèque nationale, sous la rubrique erronée de Becquey (François-Louis) et avec l'attribution fautive de la traduction de l'Enéide, œuvre de son frère François. » (NB : les textes référencés « Becquey » à la BNF (sur le site Data.bnf.fr) ont pris en compte cette correction).
    Vraisemblablement cette erreur tient à la circonstance que Louis n’est pas étranger à la carrière de François notamment dans sa nomination de conseiller de préfecture auprès du préfet de la Marne : « En l’An VIII, il [Louis] fait partie de l’entourage de Lucien Bonaparte et du Premier Consul ; il est lié avec le troisième Consul Lebrun, et joue un rôle important dans les nominations aux postes clés des départements de la Champagne méridionale. » (Voir [collectif] (bibliographie), Grands notables du Premier Empire, page 44, notice consacrée à Louis Becquey). De même ; « Le préfet de la Marne Bourgeois de Jessaint avait beaucoup d’obligations envers Louis Becquey qui avait guidé les premiers pas de sa carrière. » (Voir Georges Clause, Les élections de 1827 dans le département de la Marne, page 254, note (31), in [Collectif], « La France au XIXe siècle – études historiques, mélanges offerts à Charles-Hippolyte Pouthas », Paris, publications de la Sorbonne, 1973) [NB : G. Clause indique par erreur Charles Becquey comme le fils de Louis, alors qu’il s’agit de François.] Sur les conseils donnés par Becquey dans les premiers temps de l’activité préfectorale de Bourgeois de Jessaint, voir Georges Clause, La circulation des idées dans l’administration napoléonienne, l’exemple de la Marne, in « La communication dans l’histoire – Tricentenaire de Colbert », colloque de Reims septembre 1983, Reims, Travaux de l’Académie nationale de Reims, 1985, 175e volume, page 268 [NB : les courriers de Becquey adressés à Bourgeois de Jessaint sont conservés aux Archives départementales de la Marne, cote 1 M 15.]). En outre, « Lucien Bonaparte fut lui-même conseillé par Beugnot, ancien procureur général-syndic de l'Aube et ancien député à la Législative, et par [Louis] Becquey qui avait aussi exercé la fonction de procureur-syndic de la Haute-Marne. » (Voir Centre régional de documentation pédagogique de Champagne-Ardenne, 2001, Les Préfets de la marne - Les premières nominations)
    (NB : Beugnot et Becquey ont commencé leur carrière politique ensemble en Haute-Marne. À la Législative, Becquey et Lebrun (juriste et financier, spécialiste des questions budgétaires et financières) sont membres du comité des finances. Lorsqu’il était maire de Bar-sur-Aube (Haute-Marne), Bourgeois de Jessaint, condisciple de Napoléon Bonaparte à l’École de Brienne, a pour adjoint Beugnot. En 1800, Beugnot, alors secrétaire général du ministère de l’Intérieur dirigé par Lucien Bonaparte, prépare la liste des nouveaux préfets institués par le premier consul Napoléon Bonaparte, qui consulte également les deux autres consuls Cambacères et Lebrun, le plus actif dans la préparation des propositions de nomination des premiers préfets. Pour la Marne, Bonaparte retient la proposition de J.-J. Siméon qui préfère siéger au Tribunat, laissant le champ libre au second placé, Bourgeois de Jessaint.)
    La confusion entre Louis Becquey et François Becquey est ancienne, comme en témoigne en 1816 la notice consacrée à Louis Becquey dans la Biographie des hommes vivants ou histoire par ordre alphabétique de la vie politique..., Tome premier, Paris, L. G. Michaud imprimeur-libraire, 1816, page 264 qui indique « Becquey fut appelé au Corps législatif le 1er mai 1804 » alors qu’il s’agit de François.
    Enfin, les qualités de « conseiller » de l’université, pour Louis, et d’« inspecteur » de l’académie puis de l’université de Paris, pour François, peuvent prêter à confusion entre eux, comme la circonstance que le premier est parlementaire représentant la Haute-Marne et le second de la Marne.

bnf.fr

  • Avant même l’arrivée de Louis XVIII à Paris à son retour d’exil (2 mai 1814), Becquey, ensemble avec d’autres protagonistes de l’ancien conseil secret du roi, est reçu par celui-ci à Compiègne (fin avril 1814) (Voir Louis Véron, Mémoires d'un bourgeois de Paris : comprenant la fin de l'Empire, la Restauration, la Monarchie de Juillet, la République jusqu'au rétablissement de l'Empire, Tome 1, Paris, Librairie nouvelle, 1856, page 226) (sur le site Gallica de la BNF).
    Dans un mémoire de l’abbé de Monstequiou adressé au Roi, datant du gouvernement provisoire en 1814 avant le retour de Louis XVIII à Paris, Becquey a été proposé à la direction des Postes en remplacement de Bourrienne : « Je demande la permission de proposer deux sujets qui me paraissent essentiels au Roi ; ce sont Becquey et Royer… Je regarde la réunion de ces deux hommes comme supérieurs à tout ce qu’on pourroit proposer, parce qu’il y a courage, esprit, pénétration et un dévouement sans exemple. Monsieur vient de mettre M Royer à la tête de la librairie… Le Roi jugera peut-être à propos de donner les postes à M Becquey, parce qu’elles sont aujourd’hui dans les mains honteuses et qui inquiètent le public. » (Voir Journal de l’Empire, dimanche 16 avril 1815, page 3) (sur le site Gallica de la BNF).
    A. Beugnot (bibliographie, pages 75-76) indique que la nomination de Becquey en qualité de directeur général de l'agriculture, du commerce, des arts et des manufactures est le témoignage de la faveur de Louis XVIII en souvenir des services rendus lorsqu’il était en exil (il s’agit de la participation de Becquey au comité secret de Louis XVIII sous le Directoire. Parallèlement, Royer-Collard qui fut à l’initiative de ce comité, est nommé directeur général de la Librairie).
    F. Démier (bibliographie, page 395) indique que c’est le baron Louis qui fait appel à Bérenger à la direction général de Douanes et à Becquey à la direction général de l'agriculture, du commerce, des arts et des manufactures, deux directions nouvellement réorganisées.

brgm.fr

infoterre.brgm.fr

cndp.fr

  • Par erreur, reprise par de nombreux auteurs jusqu’à nos jours, Louis Becquey est confondu avec son frère François Becquey à telle enseigne que la notice consacrée à Louis Becquey dans Dictionnaire des parlementaires français... depuis le 1er mai 1789 jusqu'au 1er mai 1889, Tome I, de « A à Cay », Paris, Bourloton éditeur, 1889, page 233 et suiv. (sur le site Gallica de la BNF) prénomme ce dernier « François-Louis » et le mentionne comme membre du Corps législatif alors qu’il s’agit de François. Cette erreur a été corrigée dans le Dictionnaire de biographie française (bibliographie), Tome cinquième, Paris, 1951, qui termine la notice consacrée à « BECQUEY (Louis) » par le commentaire « L'essentiel de ses publications se trouve au catalogue des imprimés de la Bibliothèque nationale, sous la rubrique erronée de Becquey (François-Louis) et avec l'attribution fautive de la traduction de l'Enéide, œuvre de son frère François. » (NB : les textes référencés « Becquey » à la BNF (sur le site Data.bnf.fr) ont pris en compte cette correction).
    Vraisemblablement cette erreur tient à la circonstance que Louis n’est pas étranger à la carrière de François notamment dans sa nomination de conseiller de préfecture auprès du préfet de la Marne : « En l’An VIII, il [Louis] fait partie de l’entourage de Lucien Bonaparte et du Premier Consul ; il est lié avec le troisième Consul Lebrun, et joue un rôle important dans les nominations aux postes clés des départements de la Champagne méridionale. » (Voir [collectif] (bibliographie), Grands notables du Premier Empire, page 44, notice consacrée à Louis Becquey). De même ; « Le préfet de la Marne Bourgeois de Jessaint avait beaucoup d’obligations envers Louis Becquey qui avait guidé les premiers pas de sa carrière. » (Voir Georges Clause, Les élections de 1827 dans le département de la Marne, page 254, note (31), in [Collectif], « La France au XIXe siècle – études historiques, mélanges offerts à Charles-Hippolyte Pouthas », Paris, publications de la Sorbonne, 1973) [NB : G. Clause indique par erreur Charles Becquey comme le fils de Louis, alors qu’il s’agit de François.] Sur les conseils donnés par Becquey dans les premiers temps de l’activité préfectorale de Bourgeois de Jessaint, voir Georges Clause, La circulation des idées dans l’administration napoléonienne, l’exemple de la Marne, in « La communication dans l’histoire – Tricentenaire de Colbert », colloque de Reims septembre 1983, Reims, Travaux de l’Académie nationale de Reims, 1985, 175e volume, page 268 [NB : les courriers de Becquey adressés à Bourgeois de Jessaint sont conservés aux Archives départementales de la Marne, cote 1 M 15.]). En outre, « Lucien Bonaparte fut lui-même conseillé par Beugnot, ancien procureur général-syndic de l'Aube et ancien député à la Législative, et par [Louis] Becquey qui avait aussi exercé la fonction de procureur-syndic de la Haute-Marne. » (Voir Centre régional de documentation pédagogique de Champagne-Ardenne, 2001, Les Préfets de la marne - Les premières nominations)
    (NB : Beugnot et Becquey ont commencé leur carrière politique ensemble en Haute-Marne. À la Législative, Becquey et Lebrun (juriste et financier, spécialiste des questions budgétaires et financières) sont membres du comité des finances. Lorsqu’il était maire de Bar-sur-Aube (Haute-Marne), Bourgeois de Jessaint, condisciple de Napoléon Bonaparte à l’École de Brienne, a pour adjoint Beugnot. En 1800, Beugnot, alors secrétaire général du ministère de l’Intérieur dirigé par Lucien Bonaparte, prépare la liste des nouveaux préfets institués par le premier consul Napoléon Bonaparte, qui consulte également les deux autres consuls Cambacères et Lebrun, le plus actif dans la préparation des propositions de nomination des premiers préfets. Pour la Marne, Bonaparte retient la proposition de J.-J. Siméon qui préfère siéger au Tribunat, laissant le champ libre au second placé, Bourgeois de Jessaint.)
    La confusion entre Louis Becquey et François Becquey est ancienne, comme en témoigne en 1816 la notice consacrée à Louis Becquey dans la Biographie des hommes vivants ou histoire par ordre alphabétique de la vie politique..., Tome premier, Paris, L. G. Michaud imprimeur-libraire, 1816, page 264 qui indique « Becquey fut appelé au Corps législatif le 1er mai 1804 » alors qu’il s’agit de François.
    Enfin, les qualités de « conseiller » de l’université, pour Louis, et d’« inspecteur » de l’académie puis de l’université de Paris, pour François, peuvent prêter à confusion entre eux, comme la circonstance que le premier est parlementaire représentant la Haute-Marne et le second de la Marne.

cnrs.fr

dumas.ccsd.cnrs.fr

  • « Becquey a également su retourner sa veste et devenir un serviteur zélé du gouvernement à la Chambre, après avoir été celui de Decazes... Le ministère de l’Intérieur sous Corbière connaît donc un fort renouvellement de personnel, finalement, les seuls cadres présents avant son arrivée et encore à leur poste en 1827 sont les inusables Rosman et Becquey, avec le baron Capelle. » (Voir Josselin Blieck, Jacques Corbière, ministre de l’intérieur (14 décembre 1821 - 3 janvier 1828) - volume 1, laboratoire du CERHIO, université Rennes 2 Haute-Bretagne, septembre 2012, pages 5, 30 à 32) (sur le site Archive ouverte HAL) (NB : Rosman est responsable de la division de la comptabilité générale au ministère de l’intérieur chargée, en particulier, de suivre les fonds secrets du roi (Voir Journal, L’ami de la religion…, Tome 85, Paris, 1835, page 421)).
    Voir également [Colectif] (bibliographie), Aide-toi, le ciel t'aidera, la notice « Becquey ».

culture.gouv.fr

developpement-durable.gouv.fr

histoire-dac.developpement-durable.gouv.fr

education.fr

bibnum.education.fr

  • « État des services de M. P. S. Girard », page 13 (année 1819) (sur le site bibnum, bibliothèque numérique de textes scientifiques antérieurs à 1950.

europeana.eu

portal.europeana.eu

geneanet.org

gw.geneanet.org

geneanet.org

google.es

books.google.es

google.fr

books.google.fr

hathitrust.org

babel.hathitrust.org

  • « Dans la vue d'apprécier par lui-même toutes les améliorations apportées par les Anglais à ce système [navigation intérieure], M. Cordier a fait à ses frais le voyage d'Angleterre. » (Cordier, Histoire de la navigation intérieure…, compte-rendu par Ch. Dupin, in Revue encyclopédique, tome 2 (mai 1819), p. 439). Peter J. Wexler, La formation du vocabulaire des chemins de fer en France (1778-1842), p. 28, note 13, indique que Cordier et Dupin avaient fait ensemble, en 1816, le voyage en Angleterre. Il est à noter que Dupin était, à cette époque, affecté à l’arsenal de Dunkerque.

haute-marne.fr

archives.haute-marne.fr

justice.gouv.fr

marne.fr

archives.marne.fr

mines-paristech.fr

patrimoine.mines-paristech.fr

paris.fr

canadp-archivesenligne.paris.fr

archives.paris.fr

parisdescartes.fr

biusante.parisdescartes.fr

  • Voir Alfred Rouxeau, Laennec après 1806. 1806-1826 d'après des documents inédits, Paris, librairie J.-B. Baillière et fils, 1920 (sur le site Gallica de la BNF), page 181 et 182 (NB : l’auteur indique Becquey comme membre du Corps législatif alors qu’il s’agit de son frère François). La nomination de Laennec à cet emploi, après de vaines tentatives antérieures, n’est pas étrangère à sa réputation de catholique militant et de royaliste bon teint qui avait publié en 1815, à Gand, un petit opuscule antibonapartiste (sur cet opuscule Ibid., p 145 et suiv.). Or l’époque exigeait pour la nomination de fonctionnaires, des serviteurs zélés au Trône et à l’Autel (Voir A. Finot, Louis Becquey le « découvreur » de Laennec, 1970, Société Française d'Histoire de la Médecine (sur le site de la Bibliothèque interuniversitaire santé) (NB : l’auteur, dans le rappel biographique de Louis Becquey, le confond avec son frère François et ajoute comme illustration à son article un portrait de François Becquey).

patrimoineindustriel-apic.com

  • « …des opérations de banque auxquelles même il s'était livré, lorsqu’il cherchait, dans les premiers temps de l’Empire, à se créer d’utiles occupations... » (Cf. A. Beugnot (Bibliographie), page 80-81).
    « ...Louis Becquey et Charles-Laurent Halotel, tous deux originaires des environs de St-Dizier, établis à Paris et reconvertis dans le maniement de l’argent (…) La famille de Charles-Laurent Halotel a fait fortune dans le négoce du bois au XVIIe siècle, puis dans l'activité sidérurgique en louant au duc d'Orléans la forge à Allichamps (Haute-Marne) au début du XVIIIe. Gruyer des forêts du Der et du Val dans les environs de St-Dizier depuis 1768, Halotel s'installe à Paris en 1786 pour devenir administrateur général des Domaines et Finances de la famille d'Orléans. La chute de Philippe-Égalité le conduit à devenir banquier. » (Cf. Philippe Delorme, Jules Rozet maître de forges et notable en Haute-Marne au XIXe siècle (1800 - 1871), université Paris I Panthéon-Sorbonne, Thèse pour le Doctorat d’Histoire sous la direction de M. Denis Woronoff, cahier hors-série de l'APIC (Association pour le Patrimoine Industriel de Champagne-Ardenne), décembre 2007, première partie « tradition et innovation 1823-1832 », 1er chapitre : les origines de Jules Rozet et le milieu des forges en Haute-Marne (page 8 et note 62 sur la même page du PDF)).
    Charles-Laurent Halotel est le frère de Françoise Halotel mariée à Henry Daniel Le Blanc et dont la fille, Sophie Marguerite Le Blanc, est l'épouse de Louis Becquey.
    Voir généalogie de la famille Le Blanc sur Geneanet.
    (NB : La gruyerie d'Eclaron comprenait les grandes forêts du Der et du Val, qui appartenaient à la Maison d'Orléans, et s'étendaient entre Eclaron, Wassy, Montier-en-Der et Joinville (Voir Th. Collette de Baudicour (bibliographie) cahier I (1750-1833), pages 36 et 37)).

persee.fr

revues.org

revues.org

ahrf.revues.org

rh19.revues.org

dht.revues.org

stanford.edu

frda.stanford.edu

wikimedia.org

upload.wikimedia.org