« Jean-François Millet. De Gruchy à Barbizon », sur atelier-millet, L'atelier Jean-François MILLET (consulté le ) : « [...] William Morris Hunt, fils de famille fortunée, qui fréquentait depuis cinq ans l'atelier de Thomas Couture, vint en 1851 travailler sous la direction de Millet. »
David Karel, Dictionnaire des artistes de langue française en Amérique du Nord : peintres, sculpteurs, dessinateurs, graveurs, photographes, et orfèvres, Laval, Presses Université Laval, , 962 p. (ISBN2-7637-7235-8, lire en ligne)
Louis Étienne Dussieux, Les artistes français à l'étranger : Recherches sur leurs travaux et sur leur influence en Europe, , 496 p. (lire en ligne), p. 112« Hippolyte Sebron a peint, en 1850, une vue du Niagara, achetée à New York pour lord Carlisle et apportée en Angleterre. »
Jean Mathiex, Angleterre États-Unis : l'Europe en jeu, Félin, , 235 p. (lire en ligne), p. 77« Mais les plus importants demeurent probablement John Trumbull qui ajoute de forts talents de diplomate à sa "patte" de peintre et plus encore Emanuel Leutze, Allemand né en 1816 et installé temporairement aux États-Unis en 1830 ».
Pascal Ory, Dictionnaire des étrangers qui ont fait la France, Paris, Robert Laffont, , 1357 p. (ISBN978-2-221-14016-1 et 2-221-14016-8, lire en ligne), "De retour aux États-Unis, il se fixe à Boston où il forme des élèves au pleinarisme [...]"
André Girodie, Un peintre alsacien de transition, Clément Faller, Strasbourg, Édition de la Revue alsacienne illustrée, , 110 p. (lire en ligne)