Louis IX (French Wikipedia)

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  • Œuvres musicales. Seules les 14 premières mesures sont conservées. - Date de composition : 1677. - 1re exécution : . data.bnf.fr.

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cths.fr

  • Martine François, Fournial Étienne, Cths : Comité des travaux historiques et scientifiques, (lire en ligne), « Biographie ».

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saintdenis-tombeaux.forumculture.net

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  • Laurent Macé, Les comtes de Toulouse et leur entourage : XIIe – XIIIe siècles, Toulouse, Éditions Privat, , 445 p. (ISBN 2708956000, lire en ligne).
  • Henri François Juillerat (directeur de publication de 1818 à 1820) et Théodore Monod (directeur de publication de 1863 à 1868), Archives du christianisme au XIXe siècle : journal religieux, Paris, Juillerat-Chasseur, , t. 1, no 1 ()-t. 15, no 12 () ; 2e série, t. 1, no 1 ()-t. 26, no 23 () ; 3e série, t. 1, no 1 ()-t. 6, no 36 () ; 4e série, t. 1, no 1 ()-t. 3, no 52 () ; 5e série, t. 1, no 1 ()-no 26 () (ISSN 1245-706X, OCLC 716199906, BNF 32701372, lire en ligne), p. 66, 67
    « Tantôt on leur commandait de brûler leur Talmud et tous leurs autres livres, où se trouvait ce que l’on appelait des blasphèmes » [cf. note 2« Voyez ordonnance de Louis IX de 1254 »]. « Tantôt on leur ordonnait, pour satisfaire aux conciles d’Arles et de Latran, de faire coudre sur leurs robes de dessus, devant et derrière, une pièce de feutre ou de drap jaune de quatre palmes de circonférences » (cf. note 3« Règlement de Louis IX de 1269 ») « et même de porter, outre cette rouelle, comme on nommait cette pièce, une corne attachée à leur bonnet. D’autres fois on leur défendait d’avoir des habits de couleur, de se baigner dans les rivières où se baignaient les chrétiens, de préparer des médicaments et de toucher aux vivres dans les marchés à moins qu’ils ne les achetassent… »
  • (en) Leah Lydia Otis, Prostitution in Medieval Society : The History of an Urban Institution in Languedoc, University of Chicago Press, coll. « Women in culture and society », , 258 p., ce livre est issu d'une adaptation à partir d'une thèse de l'auteur – Leah Lydia Otis, Ph. D. – parue à l'origine en 1980 sous les auspices de l'université Columbia (ISBN 9780226640341, LCCN 84016184, présentation en ligne, lire en ligne), chap. 1er (« The Twelfth and Thirteenth centuries: Prostitution Accepted »), p. 19-24, 36-37, 70, 72, 107, 163, 175, 236
    [p. 20] « Such reversals of traditional law were imposed by the king of France, especially Louis IX, in an effort to suppress what they considered to be bad customs and to replace them with a legislation esteemed to be more rational and just. Just as Saint Louis prohibited traditional trial by battle and opposed many other "irrational" aspects of criminal procedure, so he attempted to extirpate the "bad custom" of tolerance of prostitution. »
  • Alexandre Jean-Baptiste Parent du Châtelet, De la prostitution dans la ville de Paris, Paris, Établissement encyclographique, , 392 p. (lire en ligne), p. 346.
  • Christian Delacampagne, De l’indifférence : essai sur la banalisation du mal, éditions Odile Jacob, , 252 p. (ISBN 9782738106292, BNF 36994840, lire en ligne), p. 142
    « Et parce que l’antisémitisme médiéval est un « vieil antisémitisme de type religieux », qui ne s’est pas réellement investi dans la « guerre sociale », ni transformé en racisme d’État, avant le XIXe siècle. […] La seconde, inspirée des conclusions de Hannah Arendt, est contestable sur le plan historique (l’antijudaïsme de la monarchie française sous le bon roi saint Louis n’avait-il vraiment rien à voir avec un antisémitisme d’État ?) »
  • Christian Amalvi (professeur d’histoire contemporaine à l’université Paul-Valéry Montpellier 3) et Pierre Barral (historien), Les héros des Français : controverses autour de la mémoire nationale, éditions Larousse, coll. « Bibliothèque historique Larousse », , 448 p. (ISBN 9782035860903, BNF 42498170, lire en ligne), « Un souverain antisémite ? », p. 187.
  • Alain Boureau, L’événement sans fin : récit et christianisme au Moyen Âge, vol. 22, Les Belles Lettres, coll. « Histoire (ISSN 1140-2539) », , 298 p., texte remanié d’articles extraits de diverses revues et publications, 1982-1989 (ISBN 9782251380216, BNF 35608834, lire en ligne), p. 232
    « Mais entre-temps saint Louis avait ordonné la crémation de 1242. En 1244, puis 1248, Innocent IV confirma cette volonté de destruction. Le rôle central joué par Donin a conduit certains historiens à privilégier l’importance des contradictions. […] Un historien américain a proposé récemment de lier la crémation de 1242 et, plus généralement, la recrudescence de l’antisémitisme médiéval[21],[22] aux ordres mendiants. […] À une autre échelle, l’événement de 1242 se banalise quand on l’intègre dans la longue chaîne de l’antijudaïsme et de l’antisémitisme[21],[22]. Les spécialistes d’histoire juive ont tendance à dérouler un processus continu depuis saint Augustin. Le bûcher de 1242 ne serait que le sommet de l'apogée antisémite, marqué par les pogroms du XIIe siècle et par les canons du concile du Latran IV (1215) qui imposèrent aux juifs le port d'un signe distinctif » (N.D.L.R. : la rouelle).
  • Claire Delbos, La France fortifiée : châteaux, citadelles et forteresses, Paris, , 155 p. (ISBN 2847681981, lire en ligne), p. 75.
  • Pierre Vallaud, Chronologie des rois de France, Archipoche, coll. « essai, témoignage », , 160 p. (ISBN 9782352873884, BNF 42510761, lire en ligne), « Louis IX (ou Saint Louis) », p. 49-50
    « De sa générosité légendaire, néanmoins, sont exclus les cathares et les juifs. Il soutient l’Inquisition en Languedoc (Montségur tombe en 1244), oblige les juifs à porter la rouelle écarlate. »
  • Claude Lelièvre, Les rois de France : enfants chéris de la République, Paris, éditions Bartillat, , 301 p. (ISBN 9782841002078, lire en ligne), p. 90.
  • Louis Bériot, Saint Louis : l'aigle aux yeux de colombe, éditions Robert Laffont, , 661 p. (ISBN 9782221141328, OCLC 878362139, BNF 43876338, lire en ligne), chap. 83 (« La rouelle pour les Juifs »), p. 631-632 et al..
  • Simon Schwarzfuchs, « Revue des études juives », Historia judaica, université Paris-Sorbonne, Société des études juives,‎ , p. 148 (ISSN 0484-8616, lire en ligne)
    « La rareté des Juifs, pense M. E. Fournial[35], explique qu’ils n’aient pas été persécutés. Les mesures dont ils furent l’objet — port de la rouelle, interdiction d’avoir des nourrices chrétiennes, de vendre leur viande aux chrétiens, d’exercer toute fonction publique, etc. — sont monnaie courante à cette époque. »
  • Élisabeth Roudinesco, Retour sur la question juive, éditions Albin Michel, coll. « Bibliothèque Albin Michel des idées », , 336 p. (ISBN 9782226210173, BNF 42088375, lire en ligne), p. 1882.
  • Philippe Valode, L'histoire de France en 2 000 dates, edi8, , 678 p. (ISBN 978-2-7357-0361-6, lire en ligne), p. 163.
  • Cyril Lepeigneux, L'Écrin de Saint Louis, Fleurus, , 75 p. (ISBN 978-2-7289-2739-5, lire en ligne).

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herodote.net

ircam.fr

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  • Albert Doppagne, Majuscules, abréviations, symboles et sigles : pour une toilette parfaite du texte, Bruxelles, De Boeck-Duculot, coll. « Entre guillemets (ISSN 1374-0881) », , 4e éd. (1re éd. 1991 (BNF 35466558) c/o Duculot) (BNF 41161367).
  • (en) Peter Jackson, « The Crisis in the Holy Land in 1260 », The English Historical Review, vol. 95, no 376,‎ , p. 481–513 (ISSN 0013-8266, DOI 10.1093/ehr/XCV.CCCLXXVI.481, JSTOR 568054).
  • Henri François Juillerat (directeur de publication de 1818 à 1820) et Théodore Monod (directeur de publication de 1863 à 1868), Archives du christianisme au XIXe siècle : journal religieux, Paris, Juillerat-Chasseur, , t. 1, no 1 ()-t. 15, no 12 () ; 2e série, t. 1, no 1 ()-t. 26, no 23 () ; 3e série, t. 1, no 1 ()-t. 6, no 36 () ; 4e série, t. 1, no 1 ()-t. 3, no 52 () ; 5e série, t. 1, no 1 ()-no 26 () (ISSN 1245-706X, OCLC 716199906, BNF 32701372, lire en ligne), p. 66, 67
    « Tantôt on leur commandait de brûler leur Talmud et tous leurs autres livres, où se trouvait ce que l’on appelait des blasphèmes » [cf. note 2« Voyez ordonnance de Louis IX de 1254 »]. « Tantôt on leur ordonnait, pour satisfaire aux conciles d’Arles et de Latran, de faire coudre sur leurs robes de dessus, devant et derrière, une pièce de feutre ou de drap jaune de quatre palmes de circonférences » (cf. note 3« Règlement de Louis IX de 1269 ») « et même de porter, outre cette rouelle, comme on nommait cette pièce, une corne attachée à leur bonnet. D’autres fois on leur défendait d’avoir des habits de couleur, de se baigner dans les rivières où se baignaient les chrétiens, de préparer des médicaments et de toucher aux vivres dans les marchés à moins qu’ils ne les achetassent… »
  • Alain Boureau, L’événement sans fin : récit et christianisme au Moyen Âge, vol. 22, Les Belles Lettres, coll. « Histoire (ISSN 1140-2539) », , 298 p., texte remanié d’articles extraits de diverses revues et publications, 1982-1989 (ISBN 9782251380216, BNF 35608834, lire en ligne), p. 232
    « Mais entre-temps saint Louis avait ordonné la crémation de 1242. En 1244, puis 1248, Innocent IV confirma cette volonté de destruction. Le rôle central joué par Donin a conduit certains historiens à privilégier l’importance des contradictions. […] Un historien américain a proposé récemment de lier la crémation de 1242 et, plus généralement, la recrudescence de l’antisémitisme médiéval[21],[22] aux ordres mendiants. […] À une autre échelle, l’événement de 1242 se banalise quand on l’intègre dans la longue chaîne de l’antijudaïsme et de l’antisémitisme[21],[22]. Les spécialistes d’histoire juive ont tendance à dérouler un processus continu depuis saint Augustin. Le bûcher de 1242 ne serait que le sommet de l'apogée antisémite, marqué par les pogroms du XIIe siècle et par les canons du concile du Latran IV (1215) qui imposèrent aux juifs le port d'un signe distinctif » (N.D.L.R. : la rouelle).
  • Danièle Sansy (maître de conférences à l’université du Havre), « Marquer la différence : l’imposition de la rouelle aux XIIIe et XIVe siècles », Médiévales, Presses universitaires de Vincennes, vol. 20, no 41 « La rouelle et la croix. Destins des Juifs d'Occident »,‎ , p. 15-36 (ISSN 1777-5892, OCLC 754127846, DOI 10.3406/medi.2001.1523, lire en ligne) [version PDF].
  • Simon Schwarzfuchs, « Revue des études juives », Historia judaica, université Paris-Sorbonne, Société des études juives,‎ , p. 148 (ISSN 0484-8616, lire en ligne)
    « La rareté des Juifs, pense M. E. Fournial[35], explique qu’ils n’aient pas été persécutés. Les mesures dont ils furent l’objet — port de la rouelle, interdiction d’avoir des nourrices chrétiennes, de vendre leur viande aux chrétiens, d’exercer toute fonction publique, etc. — sont monnaie courante à cette époque. »

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  • (en) Leah Lydia Otis, Prostitution in Medieval Society : The History of an Urban Institution in Languedoc, University of Chicago Press, coll. « Women in culture and society », , 258 p., ce livre est issu d'une adaptation à partir d'une thèse de l'auteur – Leah Lydia Otis, Ph. D. – parue à l'origine en 1980 sous les auspices de l'université Columbia (ISBN 9780226640341, LCCN 84016184, présentation en ligne, lire en ligne), chap. 1er (« The Twelfth and Thirteenth centuries: Prostitution Accepted »), p. 19-24, 36-37, 70, 72, 107, 163, 175, 236
    [p. 20] « Such reversals of traditional law were imposed by the king of France, especially Louis IX, in an effort to suppress what they considered to be bad customs and to replace them with a legislation esteemed to be more rational and just. Just as Saint Louis prohibited traditional trial by battle and opposed many other "irrational" aspects of criminal procedure, so he attempted to extirpate the "bad custom" of tolerance of prostitution. »

catdir.loc.gov

  • (en) Leah Lydia Otis, Prostitution in Medieval Society : The History of an Urban Institution in Languedoc, University of Chicago Press, coll. « Women in culture and society », , 258 p., ce livre est issu d'une adaptation à partir d'une thèse de l'auteur – Leah Lydia Otis, Ph. D. – parue à l'origine en 1980 sous les auspices de l'université Columbia (ISBN 9780226640341, LCCN 84016184, présentation en ligne, lire en ligne), chap. 1er (« The Twelfth and Thirteenth centuries: Prostitution Accepted »), p. 19-24, 36-37, 70, 72, 107, 163, 175, 236
    [p. 20] « Such reversals of traditional law were imposed by the king of France, especially Louis IX, in an effort to suppress what they considered to be bad customs and to replace them with a legislation esteemed to be more rational and just. Just as Saint Louis prohibited traditional trial by battle and opposed many other "irrational" aspects of criminal procedure, so he attempted to extirpate the "bad custom" of tolerance of prostitution. »

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  • François Guerrier, « Saint Louis à Saint-Louis », Monversailles.com,‎ (lire en ligne, consulté le ).

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  • Henri François Juillerat (directeur de publication de 1818 à 1820) et Théodore Monod (directeur de publication de 1863 à 1868), Archives du christianisme au XIXe siècle : journal religieux, Paris, Juillerat-Chasseur, , t. 1, no 1 ()-t. 15, no 12 () ; 2e série, t. 1, no 1 ()-t. 26, no 23 () ; 3e série, t. 1, no 1 ()-t. 6, no 36 () ; 4e série, t. 1, no 1 ()-t. 3, no 52 () ; 5e série, t. 1, no 1 ()-no 26 () (ISSN 1245-706X, OCLC 716199906, BNF 32701372, lire en ligne), p. 66, 67
    « Tantôt on leur commandait de brûler leur Talmud et tous leurs autres livres, où se trouvait ce que l’on appelait des blasphèmes » [cf. note 2« Voyez ordonnance de Louis IX de 1254 »]. « Tantôt on leur ordonnait, pour satisfaire aux conciles d’Arles et de Latran, de faire coudre sur leurs robes de dessus, devant et derrière, une pièce de feutre ou de drap jaune de quatre palmes de circonférences » (cf. note 3« Règlement de Louis IX de 1269 ») « et même de porter, outre cette rouelle, comme on nommait cette pièce, une corne attachée à leur bonnet. D’autres fois on leur défendait d’avoir des habits de couleur, de se baigner dans les rivières où se baignaient les chrétiens, de préparer des médicaments et de toucher aux vivres dans les marchés à moins qu’ils ne les achetassent… »
  • Danièle Sansy (maître de conférences à l’université du Havre), « Marquer la différence : l’imposition de la rouelle aux XIIIe et XIVe siècles », Médiévales, Presses universitaires de Vincennes, vol. 20, no 41 « La rouelle et la croix. Destins des Juifs d'Occident »,‎ , p. 15-36 (ISSN 1777-5892, OCLC 754127846, DOI 10.3406/medi.2001.1523, lire en ligne) [version PDF].
  • Louis Bériot, Saint Louis : l'aigle aux yeux de colombe, éditions Robert Laffont, , 661 p. (ISBN 9782221141328, OCLC 878362139, BNF 43876338, lire en ligne), chap. 83 (« La rouelle pour les Juifs »), p. 631-632 et al..
  • Xavier Hélary (maître de conférences en histoire médiévale à l’université Paris-Sorbonne), L’armée du roi de France : la guerre de Saint Louis à Philippe le Bel, Paris, éditions Perrin, , 325 p., texte remanié à partir d'une thèse de doctorat en histoire médiévale publiée à Paris IV en 2004 (ISBN 978-2-262-04075-8, EAN 9782262040758, OCLC 826756405, BNF 42766905) [Sudoc 165812583].