Charles Jencks, Mouvements modernes en architecture, vol. 5, Mardaga, coll. « Architecture + recherches », , 551 p. (ISBN978-2-87009-073-2, lire en ligne), p. 124-128.
(en) Coll., The Arts, Sciences, and Literature, Walter de Gruyter GmbH & Co KG, , 1410 p. (ISBN978-3-11-097027-2, lire en ligne), « Introduction LXV ».
Claude Massu, Chicagos, Parenthèses, coll. « Eupalinos : série Architecture et urbanisme », , 325 p. (ISBN978-2-86364-606-9, lire en ligne), p. 74.
(en) Ralph Keyes, The Quote Verifier : Who Said What, Where, and When, St. Martin's Publishing Group, , 416 p. (ISBN978-1-4299-0617-3, lire en ligne), p. 44.
(en) Franz Schulze, Illinois Institute of Technology : An Architectural Tour by Franz Schulze, New York, Springer Science & Business Media, , 111 p. (ISBN978-1-56898-650-0, lire en ligne), p. 13.
Xavier de Jarcy, « Ces artistes du Bauhaus qui ont flirté (ou pire) avec les nazis », télérama.fr, (lire en ligne, consulté le ).
wikipedia.org
de.wikipedia.org
Mies n'est pas l'auteur de cette phrase (devenue une sorte de devise du minimalisme). C'est Robert Browning qui l'a écrite en 1855 dans son recueil de poèmes Hommes et Femmes (Men and Women). Il s'agit de la traduction d'un proverbe allemand né quelques décennies plus tôt, Weniger ist mehr(de).