« L'éternité de l'essence divine absolue est contredite par l'incarnation du Christ, mais c'est seulement dans un troisième moment qu'elles sont réconciliées dans le Savoir absolu sous la forme du concept. La chute de l'esprit dans le temps est alors corrigée ; l'éternité est rétablie ; elle n'est plus abstraite, mais vivante. » ; Jean-Louis Vieillard-Baron, Les paradoxes de l'éternité chez Hegel et chez Bergson, dans Les études philosophiques no 59, éd. Puf, 2001/4, lire en ligne.