Alphonse Gratry est aumônier de l'École normale supérieure entre 1846 et 1851, avant que Léon Ollé-Laprune n'y entre [1] (notice de la Bibliothèque nationale).
La bibliothèque nationale de France conserve un exemplaire de Vers à l'occasion de la St-Charlemagne. Lycée Bonaparte. 1856. À l'honneur de la France, signé L. Ollé-Laprune ; notice Bnf [4]
cnrs.fr
facultes19.ish-lyon.cnrs.fr
Laboratoire de recherche historique Rhône-Alpes (Maison des Sciences de l'Homme de Lyon), Les professeurs des facultés des lettres et des sciences en France au XIXe siècle (1808 - 1880)[3]
Revue Semaine religieuse du diocèse de Lyon, 2e année, tome I, p. 182 [13]
Bibliographie de la Revue de l'enseignement chrétien (éd. Félix Klein), année 1896, p. 136 [14]
François Pillon (éd.), L'Année philosophique, sixième année 1895, p. 260 [15]
Association catholique pour la réunion de l'église anglicane, Bulletin mensuel, article de Fernand Dalbus Léon XIII et la question anglicane, p. 18, 1895 [16]
De même, Fernand Dalbus, article Léon XIII et la question anglicane, p. 21, 1895 [17]
Marie-Jeann Coutagne, Maurice Blondel et la quête du sens, p. 89, 1998 [18]
Souvenirs du centenaire de l'École normale supérieure, 1795 - 1895, p. 67, 1895 [23]
Académie des sciences morales et politiques, Séances et travaux de l'Académie des sciences morales et politiques, p. 281, 1889 [24]
Publicité dans La philosophie et le temps présent, 1890 [26] (pages suivantes)
Académie des sciences morales et politiques, Séances et travaux de l'Académiedes sciences morales et politiques, tome 16, p. 224, 1881 [27]
Compte-rendu par Julien B. de La Quinzaine, tome V, p. 127, 1895 [28].