Miron Rezun, « Luc Duhamel, Les Soviétiques et les voies de la révolution en Europe occidentale (de Lénine à Brejnev), Montréal et Paris, Les Presses de l’Université de Montréal et les éditions Anthropos, 1981, 286 p. », Politique, no 6, , p. 191 (ISSN0711-608X et 1918-6584, DOI10.7202/040471ar, lire en ligne, consulté le )
Miron Rezun, « Luc Duhamel, Les Soviétiques et les voies de la révolution en Europe occidentale (de Lénine à Brejnev), Montréal et Paris, Les Presses de l’Université de Montréal et les éditions Anthropos, 1981, 286 p. », Politique, no 6, , p. 191 (ISSN0711-608X et 1918-6584, DOI10.7202/040471ar, lire en ligne, consulté le )
Miron Rezun, « Luc Duhamel, Les Soviétiques et les voies de la révolution en Europe occidentale (de Lénine à Brejnev), Montréal et Paris, Les Presses de l’Université de Montréal et les éditions Anthropos, 1981, 286 p. », Politique, no 6, , p. 191 (ISSN0711-608X et 1918-6584, DOI10.7202/040471ar, lire en ligne, consulté le )
Aucun consensus n'existe, parmi les auteurs en général et parmi les spécialistes, sur l'orthographe française à employer. La graphie Trotski, qui est conforme à la transcription du russe la plus couramment utilisée, est employée par Hélène Carrère d'Encausse (on en trouve des exemples dans ses ouvrages Lénine, Staline l'ordre par la terreur), François Furet (Le Passé d'une illusion), Martin Malia (La Tragédie soviétique), Boris Souvarine (Staline, aperçu historique du communisme), Stéphane Courtois (Le livre noir du communisme), dans l'ouvrage collectif Le siècle des communismes et dans des dictionnaires comme l'encyclopédie Larousse. L'orthographe Trotsky, employée par l'intéressé lui-même dans ses textes rédigés en français, est, quant à elle, utilisée par Nicolas Werth (Histoire de l'Union soviétique), Gilles Martinet (Les Cinq communismes), Pierre Naville (Trotsky vivant), Archie Brown (The Rise and fall of communism) ou François Fejtö (Histoire des démocraties populaires). Elle figure par ailleurs sur les éditions françaises de ses ouvrages, comme Ma vie ou L'Internationale communiste après Lénine et est en outre employée par ses biographes Pierre Broué, Isaac Deutscher, Robert Service, Victor Serge et Jean-Jacques Marie. Archie Brown signale, en langue anglaise, les variantes Trotskiy ou Trotskii, cette dernière étant utilisée par des textes de la Bibliothèque du Congrès. Brown précise avoir choisi d'utiliser la forme Trotsky car celle-ci est la plus répandue en anglais (Archie Brown, The Rise and Fall of Communism, Vintage Books, 2009, p. 11).
Gabriel Gorodetsky, « Diplomatie soviétique, de l'idéologie au réalisme », Le Monde diplomatique, (lire en ligne, consulté le )
persee.fr
Moreau Defarges Philippe. Michael Heller et Aleksandr Nekrich. L'utopie au pouvoir. Histoire de l'URSS de 1917 à nos jours, Politique étrangère, 1982, vol. 47, no 2, p. 499-502 (lire en ligne)
sic.gob.mx
(es) « Museo Casa de León Trotsky », sur Secretaría de Cultura/Sistema de Información Cultural (consulté le )