Auguste Kuscinski, « Le conventionnel Léonard Bourdon », La Révolution française : revue d’histoire moderne et contemporaine, Charavay frères, 1889, volume 16, p. 133-134.
Archives parlementaires de 1787 à 1860, première série, t. 64, p. 715 et 718, t. 65, p. 56-60.
Archives parlementaires de 1787 à 1860, première série t. 65, p. 604.
Léonard Bourdon et Pierre-Louis Moline, Le Tombeau des imposteurs et l’inauguration du temple de la vérité, sansculotide dramatique en trois actes mêlée de musique, Paris, Imprimerie des 86 départements, , X-100 p. (lire en ligne).
Adolphe Lieby, « La presse révolutionnaire et la censure théâtrale sous la Terreur (suite et fin) », La Révolution française : revue historique, vol. 46, , p. 98-99 (lire en ligne)
Alphonse Aulard, La Société des jacobins : recueil de documents pour l’histoire du Club des jacobins de Paris, t. 5 : « Janvier 1793 à mars 1794 », Paris, Librairie Jouaust, Librairie Noblet & Maison Quantin, 1895, p. 395-397.
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Né en 1724, Louis-Joseph Bourdon, est conseiller du roi, greffier des commissions extraordinaires de son Conseil de 1749-1750 à 1756-1757, premier commis de M. Langlois, l’un des intendants des finances, en 1765. Il est écroué à la Bastille du 2 au 19 septembre 1776 pour la publication d’un Projet de réunion des Postes aux chevaux aux Messageries (qui visait, jugea-t-on, à contrecarrer les projets du ministère, parce que sa parution concordait avec la publication de l’arrêt du Conseil relatif à l’administration des postes). Voir Michael J. Sydenham, Leonard Bourdon. The Career of a Revolutionary. 1754‑1807, p. 4-5 ; La Revue Normande : Histoire, littérature, sciences & arts, tomes 7 à 8, 1898, p. 89 ; Philippe Béchu, De la paume à la presse : étude de topographie et d’histoire parisiennes : recherches sur les immeubles des 57 rue de Seine et 62 rue Mazarine, leurs occupants et leurs familles, Fédération des sociétés historiques et archéologiques de Paris et de l’Île-de-France, 1998, 490 p., p. 151.
« Chronology », dans Michael J. Sydenham, op. cit., p. 338-346.
Michael J. Sydenham, Leonard Bourdon. The Career of a Revolutionary. 1754‑1807, p. 4-5.
Il avait été préalablement décidé de transformer ce local en Dépôt provisoire des monuments, le 17 octobre 1791. Voir Paul et Marie-Louise Biver, Abbayes, monastères et couvents de paris, Éditions d’Histoire et d’Art, 1970, p. 38
En septembre 1789 arrive à Paris Jean Jacob, dit le « centenaire du Mont-Jura », ouvrier agricole de Montfleur né, suppose-t-on, en 1669 ; il est présenté à l’Assemblée constituante le 23 octobre. Bourdon obtient de le loger chez lui et le fait servir par ses élèves pour leur inculquer le respect dû aux aînés. Celui-ci meurt le 30 janvier 1790, et ses funérailles ont lieu en l’église Saint-Eustache de Paris le 3 février. Voir Louis-Gabriel Michaud, Joseph-François Michaud, Biographie universelle, ancienne et moderne, ou Histoire, par ordre alphabétique, de la vie publique et privée de tous les hommes qui se sont fait remarquer par leurs écrits, leurs actions, leurs talents, leurs vertus ou leurs crimes, chez Michaud frères, 1835, t. 59, p. 112 ; l’Encyclopédie des gens du monde, Librairie de Treuttel et Würtz, 1834 ; Jacques Berlioz, « Le « centenaire » de la Révolution », Les Collections de L’Histoire, n° 25, octobre 2004, p. 34.
Haïm Burstin, Une révolution à l’œuvre: le faubourg Saint-Marcel (1789-1794), Éditions Champ Vallon, 2005, 923 p., 470-471.
Paul d’Estrée, Le Père Duchesne: Hébert et la commune de Paris (1792-1794), Paris, L’Édition Moderne, 1908, 505 p., p. 105.
Catherine Dupuy, « L’électorat de la section de Gravilliers 1791-1792 », dans Michel Vovelle (dir.), Paris et la Révolution, Publications de la Sorbonne, 1988, 394 p., p. 97-103.
Auguste Vallet de Viriville, Histoire de l’instruction publique en Europe et principalement en France depuis le christianisme jusqu’à nos jours : universités, collèges, écoles des deux sexes, académies, bibliothèques publiques, etc., Administration du Moyen âge et la renaissance, 1849, 400 p., p. 391-392.
Révolution française ou analyse complette et impartiale du Moniteur : suivie d’une table alphabétique des personnes et des choses, Girardin, 1801, t. 1, p. 864.
J. Ayoub, M. Grenon, Procès-verbaux du Comité d’Instruction Publique de la Convention Nationale (édition nouvelle présentée, mise à jour et augmentée) publiés et annotés par J. Guillaume, t. 1, 15 octobre 1792-2 juillet 1793, fascicule II, t. 3, L’Harmattan, 1997, 530 p., p. 531.
Michael J. Sydenham, Leonard Bourdon. The Career of a Revolutionary. 1754‑1807 (lire en ligne), p. 151-157.
José Quitin, La Musique à Liège entre deux révolutions (1789-1830), Éditions Mardaga, 1997, 352 p., p. 55.
Émile Campardon, Le Tribunal révolutionnaire de Paris, Paris, Henri Plon, 1866 t. 1, p. 52-56.
Denis Lottin, Recherches historiques sur la ville d’Orléans, Orléans, Imprimerie d’Alexandre Jacob (8 volumes, 1836-1845), 2e partie, t. 2, 1838, p. 24.
Réimpression de l’ancien Moniteur, t. 18 : « la Convention nationale », Henri Plon, 1860, p. 32 et 37.
Alphonse Aulard, Le Culte de la Raison et le culte de l’Être suprême (1793-1794) : Essai historique, Paris, Alcan, , 371 p. (lire en ligne), p. 233-234
Adolphe Lieby, Étude sur le théâtre de Marie-Joseph Chénier, Société Française d’Imprimerie et de Librairie, , 514 p. (lire en ligne), p. 146-147
Castil-Blaze, L’Académie impériale de musique: histoire littéraire, musicale, politique et galante de ce théâtre, de 1645 à 1855, Castil-Blaze, 1855, p. 23.
C’est à tort qu’Édouard Fournier (Énigmes des rues de Paris, E. Dentu, 1860, 370 p., p. 233) et l’auteur de Paris, ou Le livre des cent-et-un (S. Schmerber, 1832, t. 4, p. 200-201) attribuent cette interdiction au seul Robespierre et qu’ils prétendent que le texte en fut détruit.
Dominique Margairaz, François de Neufchâteau : biographie intellectuelle, Publications de la Sorbonne, 2005, 557 p., p. 20.
Réimpression de l’ancien Moniteur, t. 18: « la Convention nationale », Henri Plon, 1860, p. 593-594.
Réimpression de l’Ancien Moniteur, t. 17, 1840, p. 651.
Réimpression de l’ancien Moniteur, t. 18: « la Convention nationale », Henri Plon, 1860, p. 472.
Réimpression de l’ancien Moniteur, t. 18 : « la Convention nationale », Henri Plon, 1860, p. 613-614.
Ernest Hamel, Histoire de Robespierre d’après des papiers de famille, t. 3: « La Montagne », A. Lacroix, Verboeckhoven & c., 1867, p. 376-377.
« Notes écrites de la main de Robespierre sur différents députés à la Convention »(p. 651-655), Œuvres de Maximilien Robespierre (édition critique d’Albert Laponneraye, auteur d’une notice historique, des notes et des commentaires, précédées de considérations générales d’Armand Carrel), t. 3, 1840, p. 654. Ce passage est cité dans Philippe Buchez, Prosper Charles Roux, Histoire parlementaire de la révolution française, Paulin, 1837, t. 33, p. 171-172, Suzanne Bérard, Le Théâtre révolutionnaire de 1789 à 1794: la déchristianisation sur les planches, Presses universitaires de Paris ouest, 2009, 422 p., p. 329-330, et Michael J. Sydenham, op. cit., 1999, p. 331.
Edme Théodore Bourg Saint-Edme, Répertoire général des causes célèbres françaises, anciennes et modernes, Louis Rosier, 1834, p. 68.
Réimpression de l’ancien Moniteur: seule histoire authentique et inaltérée de la révolution française depuis la réunion des États-généraux jusqu’au Consulat (mai 1789-novembre 1799), Henri Plon, t. 22, 1854, p. 252.
Réimpression de l’ancien Moniteur, t. 22: « la Convention nationale », Henri Plon, 1862, p. 377-378.
Après le démantèlement du système terroriste de l’an II, engagé dans le Loiret, dans le cadre de la réaction thermidorienne (voir Denis Woronoff, La République bourgeoise de Thermidor à Brumaire (1794-1799), t. 3 de la Nouvelle histoire de la France contemporaine, Seuil, coll. Points histoire, 2004, p. 10-11), lors de la mission de Brival (2 août-24 décembre 1794), qui a épuré le comité de surveillance et la société populaire de la ville (Michel Biard, op. cit., 2002, p. 471-472), la municipalité d’Orléans décide de célébrer la mémoire de ses neuf concitoyens, guillotinés le 13 juillet 1793. Un drame chanté, avec récitant, sur des vers d’Étienne Aignan, Aux Mânes des neuf victimes d’Orléans, est donné au théâtre de la ville le 29 prairialan III. Il a pour interprète principal le tragédien François-Joseph Talma. Voir Étienne Aignan, Aux Mânes des neuf victimes d’Orléans. Chants funèbres exécutés pour la première fois sur le théâtre d’Orléans, le 29 Prairial, an IIIe. de la République française, et suivis de notes historiques, musique de M. Brochiez, Imprimerie de Darnault-Maurant, 1795, 30 p. ; Denis Lottin, op. cit., 2e partie, t. 3 (1840), p. 353-354 ; Jules Brosset, Un Musicien Orléanais sous la Terreur. Jean-Baptiste Quesnel (1755-1793), Blois, Migault, 1910, p. 8-16 ; Georges Lefebvre, Études orléanaises, Paris, CNRS, 1962, 2 vol., t. 2, p. 198 ; Henri Herluison et Paul Leroy, Notes artistiques sur les auteurs dramatiques, les acteurs, les musiciens dans l’Orléanais, Paris, Réunion des Sociétés des Beaux-Arts des départements, 1897, t. 21, p. 773-774 ; Abel Huard, Le Théâtre orléanais à travers les âges jusqu’à la fin du XVIIIe siècle, Orléans, Gout, 1904, p. 69-74.
Réimpression de l’ancien Moniteur: seule histoire authentique et inaltérée de la révolution française depuis la réunion des États-généraux jusqu’au Consulat (mai 1789-novembre 1799), Henri Plon, imprimeur-éditeur, 1847, t. 23, p. 629.
Jean-Baptiste Duverger, Collection complète des lois, décrets, ordonnances, règlemens avis du Conseil d’état, Paris, A. Guyot et Scribe, 1835, t. 8, p. 56.
Louis-Gabriel Michaud, Biographie universelle ancienne et moderne : ou histoire, par ordre alphabétique, de la vie publique et privée de tous les hommes qui se sont fait remarquer par leurs écrits, leurs talents, leurs vertus ou leurs crimes, t. 5 : « Bong - Brum », Desplaces, 1854, p. 303-305.
Selon la Biographie universelle de Feller, il aurait dirigé une maison d’éducation primaire, au début de l’Empire. Voir la Biographie universelle ou Dictionnaire de tous les hommes qui se sont fait remarquer par leurs écrits, leurs actions, leurs talents, leurs vertus ou leurs crimes, depuis le commencement du monde jusqu’à ce jour, Bruxelles, Ode, 1845, t. 3, p. 71.
Souvenirs du baron de Barante, Paris, Calmann-Lévy, 1890-1897, 6 volumes (rééd. Elibron Classics, 2005, 2e partie, t. 1, p. 240
Antoine-Joseph Raup de Baptestin de Moulières, Petite biographie conventionnelle, ou Tableau moral et raisonné des sept cent quarante-neuf députés qui composaient l’assemblée dite de la Convention, dont l’ouverture eut lieu le 21 septembre 1792, et la clôture le 26 octobre 1795, Paris, Alexis Eymery, 1815, p. 37.
Charles Coligny, « Victor Cousin », Revue du XIXe siècle, t. 4, 1867, p. 285
Léonard Gallois, Histoire des journaux et des journalistes de la révolution française (1789-1796), Société de l’Industrie Fraternelle, 1845, t. 1, 574 p., p. 441, note 3.
Denis Lottin, Recherches historiques sur la ville d’Orléans, Orléans, Imprimerie d’Alexandre Jacob (8 volumes, 1836-1845), 2e partie, t. 2, 1838, p. 154.
Louis-Gabriel Michaud, Biographie universelle ancienne et moderne : ou histoire, par ordre alphabétique, de la vie publique et privée de tous les hommes qui se sont fait remarquer par leurs écrits, leurs talents, leurs vertus ou leurs crimes, t. 5 : « Bong - Brum », Desplaces, 1854, p. 304-305.