« Le guide religieux - qui déclara, il n'y a pas si longtemps, que la critique des résultats du scrutin du 12 juin constitue un « délit » - n'est pas, non plus, épargné. Il est accusé de vivre dans une bulle, inconscient du mécontentement croissant de sa propre population, et aveuglé par les images partiales diffusées par la télévision iranienne ». « Je ne comprends pas pourquoi dans ce pays personne n'a le droit de vous critiquer » Le Figaro, 1 novembre 2009 11h48 [1]