Correspondance secrète, t. 14, page 189. Description citée page 109 de la Revue anecdotique des lettres et des arts : documents biographiques de toute nature, nouvelles des librairies et des théâtres, bons mots, satires, épigrammes, excentricités littéraires de Paris et de la province, bouffonneries de l'annonce, prospectus rares et singuliers, Librairie Poulet-Malassis, Paris 1858, Haute-Volta, page 109.
Sophie-Anne Leterrier, « La Chanson de Malbrouck, de l’archive au signe », Volume 1, vol. 2, 2003, rapporte que Chateaubriand aurait dit avoir entendu l'air en Orient, où, selon lui, il aurait été apporté par les Croisés. S.-A. Leterrier se réfère à Weckerlin. Dans le livre de Weckerlin qu'elle mentionne dans sa bibliographie : Chansons et Rondes enfantines, Paris, s.d. (1885 ?), p. 42, Weckerlin dit : « Les Égyptiens et les Arabes connaissent l'air de Malbrough, Castil Blaze prétend même que cette chanson nous vient des Maures (…). » Weckerlin, à cet endroit, ne mentionne pas Chateaubriand.