Malgré-Eux dans l’armée allemande; Les incorporés de force mosellans 1942-1945, exposition sur les "Malgré-Eux" aux Archives départementales de la Moselle
« art. 1 : Amnistie pleine et entière est accordée aux Français incorporés de force dans l'armée allemande, pour tout fait qualifié crime ou délit commis au cours d'une action criminelle accomplie par l'unité dans laquelle ils avaient été versés. »Loi no 53-112 du portant amnistie en faveur des Français incorporés de force dans les formations militaires ennemies parue au Journal officiel de la République française p. 1747
Voir cet extrait du mémoire de défense de Robert Wagner : « on entendit toujours, comme cela ressort des rapports provenant entre autres du Parti, que prendre la décision de se porter volontaire pendant la guerre était très difficile vis-à-vis de la famille et qu’on préférerait voir introduire le service militaire obligatoire parce que, dans ce cas, on ne se verrait pas obligé de prendre soi-même une décision. ».
Quatre Alsaciens exécutés par les Soviétiques. On lit sur cette page : « Il est inutile d'espérer trouver une tombe. Il n'y en a pas. Les Soviétiques, au moins dans ce secteur, passaient avec leurs blindés sur les cadavres de leurs ennemis, les écrasaient pour en faire une masse de chair, d'os et de sang. Ils les enfouissaient de la sorte, offrant de la nourriture aux corbeaux, aux renards et aux loups ».
C'est le cas de François Mutschler qui put sauver la vie de treize otages menacés de mort par les représailles nazies à PontaubaultVoir sur ouest-france.fr.
« JOSEPH KUHN, L’INSOUMIS : Articles de divers journaux relatant les péripéties de Joseph et de sa famille », Exposition numérique « Les Conflits Militaires »
Archives municipales de Sélestat, (lire en ligne [PDF])
Anstett, Marlène., Gommées de l'histoire : des Françaises incorporées de force dans le Service du travail féminin du IIIe Reich, Strasbourg, Éditions du Signe, cop. 2015, 253 p. (ISBN978-2-7468-3329-6 et 2746833298, OCLC946655654, lire en ligne), p. 17-20.