Visite du Consul général de France. Lire en ligne.
daniellaohad.com
(en) Daniella Ohad Smith, « Hotel design in British Mandate Palestine: Modernism and the Zionist vision », The Journal of Israeli History, no Vol. 29, no 1, , p. 99-123 (lire en ligne)
Lire par exemple (en) l'acte d'acquisition d'un terrain « du côté de la porte de Jaffa » (vers le quartier juif de Zikhron Moshé) en 1904, entre une famille musulmane (al-Khalidi) et des Juifs britanniques délégués par la Fondation philanthropique Moïse Montefiore, par le transfert du paiement à son représentant juif et ottoman à Jérusalem (David Yellen), homme de paille : R. Kark et M. Oren-Nordheim, 2001, op. cit., p. 90-91.
R. Kark, M. Oren-Nordheim, op. cit., 2001, p. 74-75. Lire en ligne.
R. Kark, M. Oren-Nordheim, op. cit., 2001, p. 74-75. Lire en ligne.
R. Kark, M. Oren-Nordheim, (en) op. cit., 2001, p. 55. Lire en ligne.
Ruth Kark, Michal Oren-Nordheim, (en) Jérusalem et ses environs : Quartiers, quartiers, villages, 1800-1948, Hebrew University Magnes Press, Jerusalem, 2001, (ISBN0-8143-2909-8) p. 34. Lire en ligne.
[1]L'étang situé à l'ouest de la porte de Jaffa ou de Bethléem est connu des Arabes sous le nom de Birket-el-mamilla (étang de Mamilla), parce qu'une église dédiée à sainte Mamilla s'élevait autrefois dans le voisinage (Bernardi (sapientis monachi) Itinerar. m loca sancla, xvi. — Fundgruben des Orients, II, 131.)
Les églises de la Terre Sainte, Melchior Vogüé : « Il nous reste à mentionner deux chapelles ruinées situées, sur les grottes sépulcrales de la vallée de Hinnom : la première, près de la piscine nommée « Birket Mamillah », et au Moyen Âge « Lay du Patriarche » ;... J'ignore l'origine du mot « Mamillah »; Bernard le Sage en fait le nom d'une sainte; M. de Saulcy (II, 326) le considère comme la corruption de Babylas... Les chrétiens tués lors du siège de Jérusalem par Chosroës furent ensevelis (Eutychius, ^nn., 1I, 212, 242) dans les sépulcres qui entourent l'église. La légende raconte que leurs corps y furent portés en une nuit par un lion. Aussi, pendant tout le Moyen Âge, on appela ces grottes " le Charnier du lion " » (Jean de Wirtzbourg. — Fetellus. — Thetmar. — La Citez de Jérusalem, etc)
Holy Sites Encircled : The Early Byzantine Concentric Churches of Jerusalem, p. 308, lire en ligne
google.il
books.google.il
(en) Lawrence Swaim, The Death of Judeo-Christianity : Religious Aggression and Systemic Evil in the Modern World, Hants (Grande-Bretagne), John Hunt Publishing, , 326 p. (ISBN978-1-78099-300-3, lire en ligne)[non neutre]
(en) Sarah Tarlow et Liv Nilsson Stutz, The Oxford Handbook of the Archaeology of Death and Burial, Oxford, OUP Oxford, , 849 p. (ISBN978-0-19-956906-9 et 0-19-956906-1, lire en ligne), p. 802.
haaretz.com
« A relic of the Muslim project, a cornerstone inscription on the building remains, which reads (in Arabic) : “We will do and build like they built and did - 1929, Supreme Muslim Council”, a reference to those who built theDome of the Rockand theAl-Aqsa Mosque on the Temple Mount. », Haaretz, 03/04/2014 en ligne.
"Eighty-four senior archaeologists from leading research institutions around the world have called on the Simon Wiesenthal Center, the Jerusalem municipality and the Israel Antiquities Authority to put an end to construction of the Museum of Tolerance in the center of the city", Haaretz, octobre 2011, "Grave Concerns", https://www.haaretz.com/israel-news/culture/1.5203282.
"the museum project, which cannot be viewed as a vital enterprise, and which could be built elsewhere", Haaretz, 25/11/2011, Shimon Shamir, "The Controversy of the Museum of Tolerance", lire en ligne.
"Y. Reiter holds that the judges, in their conception of the public interest, explicitly adopted a Judeo-nationalistic discourse that matches the aims of the museums founders for a building that would dominate its environment. The book presents this position in the context of what it describes as a formidable enterprise of obliteration and denial... mainly of the Arab and Islamic past in the process of molding the Israeli landscape", Haaretz, 25/11/2011, Shimon Shamir, "The Controversy of the Museum of Tolerance", lire en ligne
"There is an inherent contradiction here. Indeed, a project for tolerance that is forced upon others with flagrant intolerance is a devious idea", Haaretz, 25/11/2011, Shimon Shamir, "The Controversy of the Museum of Tolerance", lire en ligne
Wulfran Barthelemy, « Ketef Hinnom ou le trésor de Jérusalem », Histoire de l'Antiquité à nos jours | Magazine bimestriel, sur www.histoire-antique.fr, éd. Faton, (consulté le ), p. 54-61
"When Saladin defeated the Crusaders in 1187, he endowed the Mamilla district, where he had established his headquarters, as a trust in his charitable foundation, called the Salahiyah Waqf. This trust, logically, also administered the Church of the Holy Sepulchre and other Christian and Muslim institutions established before 1187 and during the Ayyubid period. The Waqf Administration continued to administer these even under British, Jordanian and Israeli rule", (en) Judith Mendelsohn Rood, Columbian College of Arts & Sciences, « What We Choose to Remember : Jerusalem in World History », sur hnn.us (History News network), (consulté le )
"The cemetery at Mamilla became an overgrown corner of Independence Park, covered by trash and weeds an unsafe place for anyone to go", (en) Judith Mendelsohn Rood, Columbian College of Arts & Sciences, « What We Choose to Remember : Jerusalem in World History », sur hnn.us (History News network), (consulté le )
(en) Gil Stern Zohar, « Long-awaited luxury », Jerusalem Post, (lire en ligne)
(en) Aviva Bar-Am, « Des rues emplies d'histoire : A quelques pas de la vieille ville, Mamilla raconte une incroyable histoire de destruction, de division, de réunification et de renouveau », Jerusalem Post, (lire en ligne)
keyway.ca
On remarquera que « Milo » ou « Millo » est dérivé de l'hébreu Milui qui veut dire « remplissage ». Milui pourrait lui-même être dérivé de l'assyrien Mulu désignant des travaux de terrassement (voir Jewish Encyclopedia).
Millo(en) est une structure à Jérusalem en pierres étagées, découverte par Kathleen Kenyon et citée plusieurs fois dans la Bible hébraïque (Chroniques 11:8) ; Livre des Rois 9:15, 11:27 ; 2 Samuel 5:6-9, etc.) (voir art. « Milo » de Wayne Blank in (en) Daily Bible studies) où Joas, roi de Judée, a été assassiné (2 Rois 12:19-20).
Ce peut être une partie de la cité de David, une terrasse de soutien (voir la traduction « supporting terrasses » par the New King James International Version) ou d'un palais royal datant du Xe siècle av. J.-C., mais il pourrait aussi être un rempart construit par les Jébuséens (voir art. « Milo » de W. Blank) ou par le roi Salomon et réparé par Ezéchias, tel qu'indiqué dans les Écritures.
lemonde.fr
Laurent Zecchini, « Discorde sur le Musée de la tolérance », Le Monde, (lire en ligne)
(en) « Liv Nilsson Stutz », sur Lnu.se - Linnaeus University (consulté le )
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Yehoshua Ben-Arieh, Jérusalem au XIXe siècle, Géographie d'une renaissance, Israël MOD Publishing House, Tel Aviv, Israël, 1980, Traduction Editions de l’éclat, 2003, chap. 6, Lire en ligne.
R. Abu Raya, Y. Billig, (en) « Jerusalem, Mamilla Pool », Hadashot Arkheologiyot : Excavations and Surveys in Israel, 115, 2003, cité in D. Gurevich, (en) « The Water Pools and the Pilgrimage to Jerusalem in the Late Second Temple Period », Palestine Exploration Quarterly, Volume 149, no 2, 2017. Lire en ligne.
On remarquera que « Milo » ou « Millo » est dérivé de l'hébreu Milui qui veut dire « remplissage ». Milui pourrait lui-même être dérivé de l'assyrien Mulu désignant des travaux de terrassement (voir Jewish Encyclopedia).
Millo(en) est une structure à Jérusalem en pierres étagées, découverte par Kathleen Kenyon et citée plusieurs fois dans la Bible hébraïque (Chroniques 11:8) ; Livre des Rois 9:15, 11:27 ; 2 Samuel 5:6-9, etc.) (voir art. « Milo » de Wayne Blank in (en) Daily Bible studies) où Joas, roi de Judée, a été assassiné (2 Rois 12:19-20).
Ce peut être une partie de la cité de David, une terrasse de soutien (voir la traduction « supporting terrasses » par the New King James International Version) ou d'un palais royal datant du Xe siècle av. J.-C., mais il pourrait aussi être un rempart construit par les Jébuséens (voir art. « Milo » de W. Blank) ou par le roi Salomon et réparé par Ezéchias, tel qu'indiqué dans les Écritures.
(en) Benny Morris (trad. de l'anglais), Victimes. Histoire revisitée du conflit arabo-sioniste [« Righteous Victims. A History of the Zionist-Arab Conflict, 1881-1999 »], Paris, Éditions Complexe (CNRS-IHTP), , 852 p. (ISBN2-87027-938-8 et 9782870279380, OCLC300228300, lire en ligne), p. 18.