Manuel Senante (French Wikipedia)

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abc.es

hemeroteca.abc.es

  • voir ABC du , p. 61.
  • voir ABC du , p. 13.

alicantevivo.org

  • (es) Sydney Sasso López, « El consejal Anselmo Juan Esplá Rodes », Las imprentas Esplá Rodes. Ciudad de Alicante,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  • il s'agit d'une croix érigée sur un promonttoire, qui fut détruite en 1934 et plus tard reconstruite, Alfredo Campello Quereda, « Alicante en el recuerdo. La Cruz del Siglo », sur Alicante Vivo, (consulté le ).

bne.es

hemerotecadigital.bne.es

  • El Siglo Futuro , disponible p. 1
  • El Siglo Futuro , p. 4.
  • voir El Siglo Futuro du , ici.
  • voir El Siglo Futuro du , p. 1.
  • voir El Siglo Futuro du , p. 1.
  • voir El Siglo Futuro du , p. 1.
  • avec Emilio Pascual y Canto, voir El Siglo Futuro du , p. 1.
  • voir El Siglo Futuro du , p. 2.
  • À ce sujet, voir Martín Sanchez 1999, p. 73-87. Dans une même phrase, le journal accusait les Juifs de servir à la fois le marxisme et la ploutocratie, en dénonçant le « front unique ou commun révolutionnaire judéomarxiste et maçonique, animé par une seule et même âme, les banquiers juifs de Wall Street » (p. 80) ; pour El Siglo Futuro, le judaïsme et la franc-maçonnerie représentaient l'anti-Espagne (p. 78-80), l'anti-catholicisme (p. 80-83) et le satanisme (p. 81) ; Blinkhorn 1975, p. 180 insiste sur un autre aspect : consumé par la vieille obsession espagnole contre les Britanniques, El Siglo Futuro considérait la franc-maçonnerie comme un corps infiltré géré par Londres. Martín Sanchez affirme que El Siglo Futuro contribua à l'élaboration de la propagande de la « croisade » franquiste (es) ultérieure en orchestrant la mobilisation anti-maçonnique, anti-juive et anti-communiste (p. 87), et favorisa la posture pro-Axe en dénonçant la Société des Nations comme étant dirigée par les Juifs (p. 84), en louant Hitler et Mussolini pour leur confrontation avec le judaïsme (p. 77). El Siglo Futuro manifesta néanmoins par la suite une hostilité croissante envers le racisme hitlérien, parlant de « carrefour du gauchisme du racisme germanique » (emporio del izquierdismo del razismo [sic] germánico), voir El Siglo Futuro du , p. 1.
  • (es) « El Siglo futuro », sur Hemeroteca Digital (consulté le ).
  • voir El Siglo Futuro du , p. 1.
  • El Siglo Futuro du , p. 1.
  • voir El Siglo Futuro du , ici.
  • voir El Siglo Futuro du , ici.
  • voir El Siglo Futuro du , ici ; Senante n'exerça aucune fonction liée au Guipuscoa (représenté entre autres par Ladislao Zavala Echaide) ou à Alicante (représenté par Francisco Almenar Suay)
  • (es) « Hoy como ayer y como mañana. Esta ha sido, es y seá nuestra bandera », El Siglo Futuro,‎ , p. 1 (lire en ligne, consulté le ) :

    « hoy como ayer y como mañana y como siempre, mantenemos nuestra bandera desplegada y afirmamos el lema de nuestro programa político: «Dios, Patria, Fueros». Dentro de la monarquía católica tradicional. »

    .
  • González Calleja 2012 affirme qu'en 1932 le journal « rentra dans les rangs de la Communion traditionaliste et devint dans les faits l'organe officieux du parti » ; El Siglo Futuro se défendit auprès de ses lecteurs d'être son organe officiel ; selon les éditeurs, le transfert de propriété d'Olazábal à Editorial Tradicionalista s'était fait à la seule condition que le journal resterait catholique relativement aux questions religieuses et qu'il resterait monarchiste, antilibéral, traditionaliste et antiparlementaire sur le plan politique, voir El Siglo Futuro du , p. 1.

carlismo.es

  • Blinkhorn 1975, p. 67 affirme que cette doctrine fut d'abord présentée à Lérida en décembre 1932 tandis que l'encyclopédie Auñamendi affirme qu'elle le fut à Valence en avril 1932 ; le document en ligne est disponible sur le site officiel de la Communion traditionaliste carliste : (es) Manuel Senante, Verdadera doctrina sobre acatamiento, obediencia y adhesión a los poderes constituidos, y sobre la actitud de la resistencia a los poderes ilégitimos y de hecho, Madrid, Imprenta de José Murillo, coll. « Cuestiones candentes de actualidad. », , 96 p. (lire en ligne).

eusko-ikaskuntza.eus

aunamendi.eusko-ikaskuntza.eus

euskomedia.org

hedatuz.euskomedia.org

  • (es) Manuel Senante, El concepto de la autonomía municipal, (lire en ligne).

mcu.es

prensahistorica.mcu.es

  • voir Diario de Alicante du , p. 3
  • Des sources de presse contemporaines affirment qu'il y fut nommé professeur auxiliaire en 1877, voir El magisterio español du , p. 1
  • voir El Nuevo Alicantino du , p. 1
  • voir El eco de la provincia du , p. 3
  • voir El eco de la provincia du , p. 1.
  • voir El Nuevo Alicantino du , p. 1.
  • (es) « El Quinto », La Comarca,‎ , p. 1 (lire en ligne, consulté le ) :

    « ¿Quién es D. Manuel Senante? Un joven abogado alicantino, integrista ayer, autor, según se dijo, del manifesto tan íntegramente católico que la Liga publicó al venir al mundo, y que sancionando una vez más que una cosa es predicar y otra dar trigo, solicitó y obtuvo a los pocos días del partido liberal conservador el ser nombrado juez municipal de Alicante »

    .
  • voir El Progreso du , p. 4.
  • voir La Voz de Alicante du , p. 1.

hispana.mcu.es

revues.org

argonauta.revues.org

  • (es) Francisco Javier Caspistegui Gorasurreta, « Paradójicos reaccionarios: la modernidad contra la República de la Comunión Tradicionalista », El Argonauta Espanol, vol. 9,‎ (lire en ligne) ; plusieurs anciens intégristes assumèrent des postes clés ai sein du carlisme : hormis Senante, José Luis Zamanilla devant chef de la section paramilitaire, José María Lamamié dirigea le secrétariat ; plus tard, le leader politique du parti fut Fal Conde

tesorodeoviedo.es

el.tesorodeoviedo.es

wikipedia.org

es.wikipedia.org

  • Ramón Nocedal mourut 3 semaines seulement avant les élections de 1907. L'une des figures du parti, José Sánchez Marco (es), prit sa place — s'assurant le succès grâce à une large alliance électorale — dans le district de Pampelune (fondamentalement prestigieux pour les traditionalistes), libérant à son tour sa propre place en tant que candidat intégriste dans le district rural d'Azpeitia dans le Guipuscoa ; il fut remplacé par Senante
  • parmi les contributeurs réguliers au journal, les principales figures étaient Luis Ortiz y Estrada (es), Emilio Muñoz (« Fabio »), Juan Marín del Campo (es) (« Chafarote ») et Felipe Robles Dégano (es) ; des hommes clés du traditionalisme comptaient parmi ses contributeurs plus occasionnels comme le comte de Rodezno, José María Lamamié de Clairac ou Manuel Fal Conde
  • À ce sujet, voir Martín Sanchez 1999, p. 73-87. Dans une même phrase, le journal accusait les Juifs de servir à la fois le marxisme et la ploutocratie, en dénonçant le « front unique ou commun révolutionnaire judéomarxiste et maçonique, animé par une seule et même âme, les banquiers juifs de Wall Street » (p. 80) ; pour El Siglo Futuro, le judaïsme et la franc-maçonnerie représentaient l'anti-Espagne (p. 78-80), l'anti-catholicisme (p. 80-83) et le satanisme (p. 81) ; Blinkhorn 1975, p. 180 insiste sur un autre aspect : consumé par la vieille obsession espagnole contre les Britanniques, El Siglo Futuro considérait la franc-maçonnerie comme un corps infiltré géré par Londres. Martín Sanchez affirme que El Siglo Futuro contribua à l'élaboration de la propagande de la « croisade » franquiste (es) ultérieure en orchestrant la mobilisation anti-maçonnique, anti-juive et anti-communiste (p. 87), et favorisa la posture pro-Axe en dénonçant la Société des Nations comme étant dirigée par les Juifs (p. 84), en louant Hitler et Mussolini pour leur confrontation avec le judaïsme (p. 77). El Siglo Futuro manifesta néanmoins par la suite une hostilité croissante envers le racisme hitlérien, parlant de « carrefour du gauchisme du racisme germanique » (emporio del izquierdismo del razismo [sic] germánico), voir El Siglo Futuro du , p. 1.
  • le document fut essentiellement rédigé par Luis Hernando de Larramendi (es), avec la contribution de Lamamié et Senante (Martínez Sánchez 2002, p. 265)
  • Frère ministre honoraire du Tiers-Ordre franciscain, caballero del Pilar, chevalier de la Santa Hermandad del Refugio (es), voir ABC du