[Guiffrey 1904] Jules Guiffrey, « Les Gobelin, teinturiers en écarlate au faubourg Saint-Marcel », Mémoires de la Société de l'histoire de Paris et de l'Ile-de-France, t. 31, , p. 1-92 (lire en ligne [sur gallica], consulté en ).
Alfred Darcel, Jules Guiffrey, La stromatourgie de Pierre Dupont. Documents relatifs à la fabrication des tapis de Turquie en France au XVIIe siècle, Charavay frères libraires, Paris, 1882 (lire en ligne)
Albert Castel, Les tapisseries, p. 284, 286, Librairie Hachette, Paris, 1879 (lire en ligne)
Sur l'histoire de la réalisation des tapisseries du cycle de La Vie de Constantin, voir Alexis Merle du Bourg, Peter Paul Rubens et la France, p. 25-33, Presses universitaires du Septentrion, Villeneuve-d'Ascq, 2004 (ISBN2-85939-827-9) (lire en ligne).
Jean-François Belhoste, La maison, la fabrique et la ville. L'industrie du drap fin en France (XVe – XVIIIe siècle s) - V-Les teintureries du quartier des Gobelins, p. 464-475, dans Histoire, économie et société, 1994, tome 13, no 3 (lire en ligne)
Joseph-Laurent Malaine est le fils de Regnier Joseph Malaine et frère de Nicolas Joseph Malaine. Pour plus de détails sur lui et son oeuvre, voir [Jacqué 2003] Bernard Jacqué, chap. 1.2.2 « Un directeur artistique au travail : Joseph-Laurent Malaine », dans De la manufacture au mur (thèse de doctorat en histoire contemporaine, dir. Serge Chassagne), université Lumière Lyon 2, , 594 p., sur theses.univ-lyon2.fr (présentation en ligne, lire en ligne), p. 59-67.