Yin Kai, « De l’étatisation à la propagande : la mise en place du système du cinéma communiste chinois (1938-1952) », Mise au point, no 7, (ISSN2261-9623, DOI10.4000/map.1844, lire en ligne, consulté le ).
Louis-Jean Duclos, La violence politique des enfants, p. 148 : « Liu Shaoqi a dû présenter une première « auto-critique » le 23 octobre 1966. Il a fait ensuite l'objet de séances de « lutte » à l'intérieur de Zhongnanhai, à deux pas du pavillon occupé par Mao. Transféré à une date indéterminée dans une prison de Kaîfeng, il devait y mourir, le 12 novembre 1969 des suites des mauvais traitements qu'il avait subis. »
Jean-Jacques Tur, Le Petit Livre rouge : « La Chine : Trois révolutions pour une renaissance : de Sun Yat-sen à Xi Jinping ».
Astrid Fossier, « Le dialogue inter-religieux en Chine », sur irénées.net, janvier 2004 : « Mais c’est pendant la révolution culturelle, période la plus destructrice de la Chine contemporaine, que le summum des persécutions contre toute forme de croyance et de pratiques religieuses fut atteint. »
issn.org
portal.issn.org
(en-US) Valerie Strauss et Daniel Southerl, « HOW MANY DIED? NEW EVIDENCE SUGGESTS FAR HIGHER NUMBERS FOR THE VICTIMS OF MAO ZEDONG'S ERA », Washington Post, (ISSN0190-8286, lire en ligne, consulté le )
Yin Kai, « De l’étatisation à la propagande : la mise en place du système du cinéma communiste chinois (1938-1952) », Mise au point, no 7, (ISSN2261-9623, DOI10.4000/map.1844, lire en ligne, consulté le ).
Pierre Jova à propos de l'ouvrage Dieu est rouge de l'écrivain chinois Liao Yiwu, « La Chine rouge du sang des chrétiens »Le Figaro, 14 mars 2015 : « La persécution monte d'un cran lors de la révolution culturelle, de 1966 à 1976. Il s'agit non plus de contrôler, mais d'éradiquer le christianisme et toute autre religion. Les chrétiens arrêtés doivent prêter le serment des « trois fidélités » : au président Mao, à la pensée du président Mao, et à la ligne révolutionnaire du président Mao. S'ils refusent, ils sont exécutés, emprisonnés, ou déportés pour le Laogai, « la rééducation par le travail », les goulags chinois. »
(en) Maurice Meisner, The significance of the Chinese Revolution in world history (document de travail), Londres, Asia Research Centre, London School of Economics and Political Science, , 13 p. (lire en ligne [PDF]), p. 8.
(en) Wang Lixiong, « Reflections on Tibet », New Left Review, 14, March-April 2002 : « On their arrival at Beijing railway station they were met by Zhou Enlai and Zhu De, while Deng Xiaoping personally checked their living quarters and Mao Zedong received and hosted several dinner parties for them. The Dalai Lama, just nineteen, was made a Vice-Chairman of the Standing Committee of the National People’s Congress and the Panchen Lama, even younger, nominated a Standing Committee member ».
Yin Kai, « De l’étatisation à la propagande : la mise en place du système du cinéma communiste chinois (1938-1952) », Mise au point, no 7, (ISSN2261-9623, DOI10.4000/map.1844, lire en ligne, consulté le ).
Statut du Parti communiste chinois en 1969 : « Le camarade Lin Piao a toujours porté haut levé le drapeau de la pensée [de] Mao Tsétoung. Il applique et défend avec la plus grande loyauté et la plus grande fermeté la ligne révolutionnaire prolétarienne du camarade Mao Tsétoung. Le camarade Lin Piao est le proche compagnon d'armes et le successeur du camarade Mao Tsétoung. »
universalis.fr
« Révolution culturelle en Chine », Encyclopédie Universalis : « Contesté à la tête du régime après l'échec du Grand Bond en avant (1958-1961), qui a provoqué un véritable marasme économique en Chine populaire et accéléré la rupture des relations avec l'URSS (1960), Mao Zedong lance, lors de l'été de 1966, une « grande révolution culturelle prolétarienne » censée représenter une nouvelle étape de développement dans l'histoire du pays. »
washingtonpost.com
(en-US) Valerie Strauss et Daniel Southerl, « HOW MANY DIED? NEW EVIDENCE SUGGESTS FAR HIGHER NUMBERS FOR THE VICTIMS OF MAO ZEDONG'S ERA », Washington Post, (ISSN0190-8286, lire en ligne, consulté le )