Jean-Marc Fabre, « La carrière de marbre du Pujo de Géry commune de Saint-Béat (Haute-Garonne) », Revue de Comminges et des Pyrénées centrales, Saint-Gaudens, Société des études du Comminges, t. 115, no 3, , p. 417-426 (ISSN0035-1059, lire en ligne, consulté le )
Jean-Marc Fabre, « La carrière de marbre du Pujo de Géry commune de Saint-Béat (Haute-Garonne) », Revue de Comminges et des Pyrénées centrales, Saint-Gaudens, Société des études du Comminges, t. 115, no 3, , p. 417-426 (ISSN0035-1059, lire en ligne, consulté le )
Ces autels sont conservés au musée de Saint-Bertrand-de-Comminges. Protecteur des carrières, comme le dieu Silvain, divinité dont le sanctuaire se trouvait donc dans la carrière de marbre, et qui pouvait protéger toute la montagne et dont le nom, selon A. Simon Esmonde Cleary, signifierait « roc » — et dont le nom semble avoir donné celui de la montagne puisqu'il contient « Rap » pour Riap, ou « Eri » pour Ari. Un autel avec l'image du bélier. Voir Nony, « Le dieu Erriapus dévoilé », ZPE, Mélanges Pflaum, t. 43, 1981, p. 243-248 sur JSTOR; Site Web : Pyrénées passion, la légende d'Erriape