Ce « tribunal de salut public », composé de trois résistants, Daniel Trellu, Marcel Dufriche et Rosine Kersulec, qui tient ses séances clandestinement dans un hangar, condamne à mort sans débat contradictoire des personnes (par exemple Jean-Marie Perrot) en leur absence et sans que les accusés aient d'avocat pour les défendre (cf. Joseph Oliviéro, Christian Perron, Yannick Pierron, Résistances et maquis en centre Bretagne, la vie d'un village de 1880 à nos jours, Liv'Éditions, 1997 (ISBN2-910781-56-9) et Tierry Guidet, Qui a tué Yann-Vari Perrot ? : enquête sur une mort obscure, Spézet, Coop Breizh, (lire en ligne)).