On peut notamment lire en ligne dans Le Banquet une étude de personnages féminins (p. 41-44) et une critique du snobisme (p. 77-78). Dans « Mondanité et mélomanie de Bouvard et Pécuchet », publié en 1893, il évoque sous une forme humoristique les nombreux faux-pas que peut faire un néophyte qui s'aventure dans les milieux mondains (repris dans Les Plaisirs et les Jours).
Cet épisode est relaté dans Le Côté de Guermantes (p. 256) et fait allusion à un événement dont le jeune Proust avait été témoin en mars 1892, alors qu'il s'apprêtait à accompagner les Straus à un bal donné par Madeleine Lemaire. Voir Caroline Weber, p. 518-525.