Académie Française, « Marie Dauguet », sur academie-francaise.fr (consulté le ).
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Plusieurs livres et articles d'époque vise à définir ce « lyrisme féminin », notamment La Littérature Féminine d'aujourd'hui de Jules Bertaut (1909) ou Le Romantisme féminin de Charles Maurras (1905). Pour Patricia Izquierdo, ces différentes expressions, alors très en vogue, visent à circonscrire les poétesses à un seul type d'écriture (Izquierdo 2010).
Gérard Walch décrit la Chaudeau comme une « vieille forge pittoresquement blottie au creux d'un des vallons les plus sauvages des montagnes des Vosges » (Walch 1907, p. 434). L'actuelle commune d'Aillevillers-et-Lyaumont possède deux lieux-dits La Chaudeau, dont une demeure construite pour la veuve d'un maître de forge au début du XIXe siècle :« Demeure d'industriel dite château de Buyer ou la Grande Chaudeau », sur Patrimoine en Bourgogne-Franche-Comté, (consulté le ).
Carmen Ramírez Gómez, dans son étude sur la réception critique de Marie Dauguet (Ramírez Gómez 2021), ne mentionne pas ce livre. Émile Faguet écrit en 1902 : « Mme Marie Dauguet a commencé en 1897 par un volume, La Naissance du Poète, que je ne connais pas, dont je ne sais s'il est vers ou prose, et que je la prie de m'envoyer ». Un poème de Francis Jammes paru en 1897 porte le même titre (Lire sur Wikisource).
Plusieurs livres et articles d'époque vise à définir ce « lyrisme féminin », notamment La Littérature Féminine d'aujourd'hui de Jules Bertaut (1909) ou Le Romantisme féminin de Charles Maurras (1905). Pour Patricia Izquierdo, ces différentes expressions, alors très en vogue, visent à circonscrire les poétesses à un seul type d'écriture (Izquierdo 2010).