Il existe une discussion quant à l'endroit où Marie débarqua en premier lieu. Un de ses biographies, l'évêque John Lesley, a proposé Brest. Cependant, Henri II parle de Roscoff dans sa correspondance. De Brézé, qui fut envoyé par Henri II pour aller chercher Marie avec la flotte, pourrait éclaircir la situation et il envoya en effet deux lettres : le 18 août 1548, il envoya une lettre à Marie de Guise, et une autre à François de Guise. Au premier abord, ces lettres pourraient sembler incohérentes puisque celle destinée à Marie de Guise indique un débarquement à Saint-Pol-de-Léon tandis que celle adressée à François parle de Roscoff, et serait ainsi la source reprise par Henri II. Cependant, Roscoff était un petit village de pêche et le port qui desservait la ville de Saint-Pol : Marie aurait donc débarqué à Roscoff, puis se serait reposée à Saint-Pol. Voir sur le sujet : (en) Lord Guthrie, « Mary Stuart and Roscoff », Proceedings of the Society of Antiquaries of Scotland, volume 42 (1907-08).
Queen of Scots Mary et A. J. Arbuthnot, Queen Mary's book; a collection of poems and essays. Edited by Mrs. P. Stewart-Mackenzie Arbuthnot, London G. Bell, (lire en ligne).
Irène Fasel, Les écrits en vers de Marie Stuart : Edition critique des autographes, augmentée de la transmission de l'œuvre poétique et de la réception littéraire de la figure de Marie Stuart (thèse de doctorat), Fribourg, , 207 p. (lire en ligne).
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L'ensemble a été qualifié par l'historien Gordon Donaldson(en), professeur à l'université d'Édimbourg, comme une sorte de « lavage de cerveau ». Jane Dawson écrit que, « bien qu'il ne s'agît pas d'un lavage de cerveau, le roi de France ne perdit aucune occasion d'éblouir les Écossais avec son pouvoir et son prestige, leur montrant qu'il était le protecteur généreux et soucieux [de leur] royaume du Nord ».