Pascal Tassy, « Il y a soixante-dix ans la découverte du marsupilami, Marsupilami
franquini (Monotrémata ; Mammalia) », Bulletin de la Société Française de Systématique, , p. 23-25, article no 65 (lire en ligne)
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Alain Quintart, « Le Marsupilami, une espèce nouvelle pour la science », Les Naturalistes belges, vol. 70, , p. 153-157 (ISSN0028-0801, lire en ligne)
Alain Quintart, « Le marsupilami, la gastéromnésie et la défense de la forêt tropicale », Les Naturalistes belges, vol. 73, , p. 205-206 (ISSN0028-0801)
Pourquoi l'ordre des monotrèmes ? Pour comprendre la plaisanterie, il faut revenir à l'accueil que reçut la découverte de l'Ornithorynque, à la fin du XVIIIe siècle, que l'on finit par classer parmi les monotrèmes, avec les échidnés. La physiologie de cet animal extrêmement discret était si étrange, associant mamelles et pelage de castor à un bec de canard, un aiguillon venimeux et, de plus - mais on le découvrira plus tard - doté du sens de l'électroperception (capacité à localiser ses proies en détectant le champ électrique produit par leurs contractions musculaires), que les scientifiques ont affirmé à l'époque qu'il s'agissait d'un canular. Nouvelle, enfin, qui aurait sûrement plu à Franquin et à Quintart, des chercheurs australiens viennent de découvrir en 2019 dans le lait de l'ornithorynque, cousin supposé du Marsupilami, une protéine bien particulière, capable de lutter contre les "superbactéries", des micro-organismes devenus résistants aux antibiotiques conventionnels.[1]
« Marsupilami », sur middelkerke.be (consulté le ).
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Alain Quintart, « Le Marsupilami, une espèce nouvelle pour la science », Les Naturalistes belges, vol. 70, , p. 153-157 (ISSN0028-0801, lire en ligne)