Notamment les témoignages rapportés dans les trois volumes de L’Agonie d’Oran, de Geneviève de Ternant. D’autres témoignages sont rapportés par le R.P. de Saint-Sernin, « Témoignage d’un prêtre à Oran », sur babelouedstory.com, , contrôlé le . Michel de Laparre de Saint-Sernin est l’auteur du Journal d'un prêtre en Algérie : Oran, 1961-1962, Paris, Page Après Page, 2004. La Croix-Rouge Internationale a recueilli (peut-être en mai 1963) le récit d’une jeune algérienne, détaillant les scènes atroces dont elle fut le témoin à Petit-Lac. Dossier BAG 275 008-001, archives de la Croix-Rouge, Genève. Le document est reproduit par Monneret 2006, p. 172-174. Jean Monneret tient à souligner que ce témoignage est isolé, c’est-à-dire non recoupé.
Jean-Louis Planche, « Français d'Algérie, Français en Algérie (1962-1965) », dans René Gallissot, Les accords d'Evian : en conjoncture et en longue durée, Paris, Karthala, (lire en ligne), p.104-105.
cairn.info
shs.cairn.info
Pierre Pellissier, « 10. Oran, le 5 juillet », Synthèses Historiques, , p. 191–215 (lire en ligne, consulté le )
Le massacre des harkis et de leurs familles, qui fait des dizaines de milliers de victimes, a commencé dès le cessez-le-feu et connaît ses moments les plus forts à l'automne. « Le massacre des harkis », sur justiceharkis.chez.com. Contrôlé le .
Oran avait connu en 1957 un niveau d'attentats et de victimes du terrorisme relativement élevé, qui déclina fortement en 1958, puis s'interrompit de novembre 1958 à avril 1959 ; leur recrudescence est manifeste à partir de juillet 1959, et persiste au long de l'année 1960. D'après Guy Pervillé, « L'Oranie pacifiée », sous le commandement du général Gambiez (janvier 1959 - septembre 1960), texte publié dans Les guerres du général Gambiez par les Éditions L’esprit du Livre, 22 rue Jacques Rivière, 92330 Sceaux, février 2009, 218 p, Lire en ligne
Marins et officiers réclament une hausse des salaires, le paiement des jours fériés, une indemnité de fin de carrière, un treizième mois, une allocation supplémentaire d’ancienneté, une relâche d’au moins dix-huit heures dans les ports entre deux voyages. Les armateurs refusent. Le , un mouvement de grève se déclare sur le port de Marseille. Gérard Crespo, « L’arrivée et l’installation des Pieds-Noirs à La Seyne-sur-Mer et dans le Var en 1962 », sur www.ldh-toulon.net, . Contrôlé le .
Jean-François Paya présente comme troublant un communiqué de trois pages (Note de rens 1266:B2:sec-conf /odj EMG ALN du ) de l’état-major général de l’ALN « proclamant que le GPRA est incapable de maintenir l’ordre » et que lui-même se propose de le faire en allant « protéger la minorité européenne ». Ce communiqué est diffusé aux cadres, affirme Jean-François Paya, le matin du , « alors qu’on ne sait pas encore ce qui se passe à Oran ». Jean-François Paya, « Le à Oran », sur www.ldh-toulon.net, . Contrôlé le .
« Le massacre oublié de centaine de Français d'Algérie », Le Figaro, (lire en ligne).
legifrance.gouv.fr
« Les accords d'Évian du », sur tlfq.ulaval.ca. Contrôlé le . Communément appelée référendum, la consultation du est le plus souvent désignée sous le nom de scrutin dans les textes officiels. Ainsi dans la reconnaissance solennelle de l'indépendance par le président de la République française : « Par le référendum du 8 janvier 1961 [...] Par le référendum du 8 avril 1962 [...] Par le scrutin d’autodétermination du 1er juillet 1962... » C. De Gaulle, « Déclaration portant reconnaissance de l'indépendance de l'Algérie », sur legifrance.gouv.fr, Journal officiel de la République française, , p. 6483. Contrôlé le .
lemonde.fr
Léon Mazella, journaliste et écrivain, « 5 juillet 1962 à Oran, un massacre oublié », Le Monde, (lire en ligne)
« Oran, le massacre oublié : de la lumière aux ombres », Le Monde, (lire en ligne, consulté le ).
lexpress.fr
Jean Monneret, La Tragédie..., p. 20. Les chiffres concernant les enlèvements d’Européens après le cessez-le-feu (dans toute l’Algérie) portent même jusqu'au mois d’avril 1963. Boris Thiolay, « La vérité sur les massacres d’Oran », sur lexpress.fr, . Contrôlé le .
pagesperso-orange.fr
garcijl7.pagesperso-orange.fr
Témoignage du commandant Brénugat, inTernant 2001, t.II, p. 77-78. Le capitaine Croguennec n’est sorti de sa réserve qu’en décembre 2006, pour livrer sa propre version de son intervention au commissariat central, accompagné du seul Brénugat, alors sous-officier. Geneviève de Ternant, « Une lettre de ce mystérieux capitaine Croguennec qui sauva de nombreux Oranais... » sur garcijl7.pagesperso-orange.fr, , contrôlé le . Les deux versions, celle de Brénugat et celle de Croguennec, sont confirmées par celle du journaliste Serge Lentz (qui fut lui-même tiré d’affaire par les zouaves du poste de garde, vers 13 heures, et trouva refuge dans leur cantonnement). Serge Lentz, Paris-Match, no 692, . Les journalistes, s'ils ont eu leur compte d'émotion, ont vu peu de choses de ces événements. Pris pour cibles eux-mêmes, ils étaient pour la plupart barricadés dans les locaux de L’Écho d’Oran.
Jean-François Paya, « Oran, : les causes du massacre », Les Cahiers secrets de l'histoire, no 42, (lire en ligne, consulté le ).
pagesperso-orange.fr
Le général Katz espérait être dédouané de la responsabilité du massacre. Il n’obtint rien, et dut continuer à porter le chapeau. Il en conçut de l’amertume : « Aujourd'hui encore je suis accusé d'avoir empêché mes unités d'intervenir dans cette malheureuse affaire. Pas plus qu'après le , Paris n'a jamais fait une mise au point pour rétablir la vérité… Je m'attendais à ce que Pierre Messmer, ministre des Armées, apporte un démenti à ces accusations dénuées de tout fondement. Il n'en fut rien. » Après avoir rappelé la déclaration du président De Gaulle envisageant des massacres (phrases rapportées dans le livre d’Alain Peyrefitte, et citées ci-avant), le général Katz ajoute : « Aucun démenti ne fut fait en juillet 1962 car il aurait mis en cause le Général et son gouvernement. » Joseph Katz, cité dans « Oran, le », sur pagesperso-orange.fr. Contrôlé le .
« Les accords d'Évian du », sur tlfq.ulaval.ca. Contrôlé le . Communément appelée référendum, la consultation du est le plus souvent désignée sous le nom de scrutin dans les textes officiels. Ainsi dans la reconnaissance solennelle de l'indépendance par le président de la République française : « Par le référendum du 8 janvier 1961 [...] Par le référendum du 8 avril 1962 [...] Par le scrutin d’autodétermination du 1er juillet 1962... » C. De Gaulle, « Déclaration portant reconnaissance de l'indépendance de l'Algérie », sur legifrance.gouv.fr, Journal officiel de la République française, , p. 6483. Contrôlé le .