(en) Ardath W. Burks, The Modernizers: overseas students, foreign employees, and Meiji Japan, (lire en ligne), p. 42
« […] au moment de sa retraite, il adopte un neveu nommé Yoshi-kuni (daimyo, 1710-1721). La gouvernance de Yoshikuni est remarquable car vers la fin de son mandat, il acquiert le droit de percevoir une commission pour l'administration d'un territoire shogunal de 103 000 koku à Echizen. »