Jacques Derrida cité par Patrick Poirier, « De l’infigurable visage ou d’un langage inconnu chez Lévinas et Blanchot », Études françaises, vol. 37, no 1, , p. 99 (lire en ligne)
« Nul écrivain plus que Blanchot ne semble avoir plus catégoriquement évacué de la littérature toute problématique liée à l'autobiographie, au sens que Philippe Lejeune donne à ce mot », écrit Thierry Durand, « L’écriture ou la vie. Essai sur la biographie », Études françaises, vol. 33, no 3, , p. 121-139 (lire en ligne)
Ce thème récurrent dans son œuvre constitue le titre du premier chapitre de L'Espace littéraire (Gallimard, 1955). Sur la question du silence on peut se reporter à l'article de Claude Perruchot, « La littérature du silence (À propos de Parain, Blanchot et Des Forêts) », Études françaises, volume 2, numéro 1, 1966, p. 109–116 (lire en ligne).
Voir Jean-François Hamel, « ''Plus de livre, plus jamais de livre'' : espace public et écriture politique d’après Maurice Blanchot et le Comité d’action étudiants-écrivains », Études françaises, volume 54, numéro 1, 2018, p. 77–96 (lire en ligne).
Georges Leroux, « À l’ami inconnu : Derrida, lecteur politique de Blanchot », Études françaises, vol. 31, no 3, , p. 111-123 (lire en ligne)
Holland, Michael, « Quand l'insoumission se déclare : Maurice Blanchot entre 1958 et 1968 », Communications, no 99 « Démocratie et littérature. Expériences quotidiennes, espaces publics, régimes politiques », , p. 55-68 (lire en ligne)