Émile Poulat, Histoire, dogme et critique dans la crise moderniste, Paris, Albin-Michel, , 3e éd. (présentation en ligne), p. LXXI, avant-propos, note 115.
Lucien Laberthonnière (Marie-Thérèse Perrin) (préf. Mgr Paul Poupard), Laberthonnière et ses amis L. Birot - H. Brémond - L. Canet : E. Le Roy ... : dossiers de correspondance (1905-1916), Paris, Éditions Beauchesne, coll. « Théologie historique » (no 33), , 313 p. (présentation en ligne), p. 59
André Hayen, « La philosophie catholique de Maurice Blondel au temps de la première « Action » », Revue philosophique de Louvain, 3e série, t. 59, no 62, , p. 249 (DOI10.3406/phlou.1961.5076, lire en ligne)
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C'est ainsi que le général de Gaulle résuma un jour à l'ambassade de France plusieurs passages de Ainsi parlait Zarathoustra : « Il faut également rappeler l’influence profonde de Nietzsche, et une des dernières citations, en Irlande, à l’Ambassade de France est celle du désabusement, paraphrasant le cri de détresse de Zarathoustra : « Rien ne vaut rien, il ne se passe rien et cependant tout arrive mais cela est indifférent ». » Cf. Alain Larcan, « Les passions littéraires du général de Gaulle » (consulté le )
Blondel et le modernisme, Cerf, Paris, 1980, p. 231-238. Compte rendu en ligne [2]
André Hayen, « La philosophie catholique de Maurice Blondel au temps de la première « Action » », Revue philosophique de Louvain, 3e série, t. 59, no 62, , p. 249 (DOI10.3406/phlou.1961.5076, lire en ligne)
