La "Commission historique d'investigation et d'analyse des crimes du régime communiste" mise en place en 2005 a rendu ses conclusions en 2007 : elle impute au régime 2.215.000 victimes en 45 ans soit environ 10 % de la population, en tenant compte non seulement des morts directement dues à la répression, mais aussi de celles dues à la pénurie institutionnalisée, aux disettes provoquées par les réquisitions, au manque d'énergie et donc de chauffage, au manque de sécurité dans le travail, à l'emploi massif des prisonniers pour les travaux dangereux et de grande envergure, et au manque de soins aux plus faibles dû à l'indigence des fournitures médicales et pharmaceutiques : voir [1] et [2] consultés le 1-er août 2011).
La "Commission historique d'investigation et d'analyse des crimes du régime communiste" mise en place en 2005 a rendu ses conclusions en 2007 : elle impute au régime 2.215.000 victimes en 45 ans soit environ 10 % de la population, en tenant compte non seulement des morts directement dues à la répression, mais aussi de celles dues à la pénurie institutionnalisée, aux disettes provoquées par les réquisitions, au manque d'énergie et donc de chauffage, au manque de sécurité dans le travail, à l'emploi massif des prisonniers pour les travaux dangereux et de grande envergure, et au manque de soins aux plus faibles dû à l'indigence des fournitures médicales et pharmaceutiques : voir [1] et [2] consultés le 1-er août 2011).