Christian Chevandier et Christian Henrisey, Les écrivains des PTT, de Georges Valero à Maxime Vivas, in Le roman social : littérature, histoire et mouvement ouvrier (ss la dir. de Sophie Béroud, Tania Régin), Éditions de l'atelier, 2002, 287 p., pp. 219-231, en part. p. 229.
« Le roman devient caustique », La Dépêche du Midi, : « Ergonome de métier, cet analyste du travail a commencé par la littérature blanche avant de tenter la littérature noire ».
Frédéric Lemaître, « La diplomatie chinoise n’entend faire aucune concession », Le Monde, (lire en ligne, consulté le ).
Nathalie Guibert et Brice Pedroletti, « Comment la Chine durcit sa guerre d’influence à l’échelle planétaire », Le Monde, (lire en ligne, consulté le ).
Jean-Paul Damaggio, Enfance de Maxime Vivas, sur le blogue des Éditions La brochure, 29 mai 2010 : « Sa famille s'est installée à Albias quand il avait cinq ans. ».
Commentaire d'Alain Raynal dans L'Humanité du 24 mai 2008, reproduit sur la page « Maxime Vivas », sur Le Griffon bleu, (version du sur Internet Archive).