Le film fait l'objet d'une première diffusion en France sur la Sept le 14 juillet 1989, avant d'être rediffusé le 8 décembre sur FR3. Voir « Robespierre 1789-1989 », sur antoine-saint-just.fr.
65 000 euros pour un lot de lettres d'Augustin Robespierre à son frère et des missives adressées à Philippe Le Bas, 750 000 euros pour les brouillons de discours, d'articles et de rapports de Robespierre, sommes auxquelles s'ajoute la commission d'achat. Voir « Les écrits de Robespierre à 900.000€ »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), Le Figaro, .
archives-ouvertes.fr
halshs.archives-ouvertes.fr
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Né à Dole le , Antoine-François Ève, dit Maillot ou Demaillot, est le fils d'un avocat ; étudiant en droit à Besançon, il s'engage comme soldat puis sergent au régiment de Guyenne avant de déserter, passe à Amsterdam où, pendant huit ans, il exerce le métier de comédien, puis rentre en France. Précepteur de Saint-Just, auteur de comédies et d'opéras-comiques, il devient journaliste et adhère au club des Jacobins. Le 1erfrimairean IV (), il fonde avec Leuliette L'Orateur plébéien. Arrêté en pour avoir conspiré aux côtés du général Malet, il demeure six ans enfermé dans les prisons parisiennes. Sorti de prison, il meurt le à l'hôpital Dubois, à l'âge de 67 ans. Voir Henry Lyonnet, Dictionnaire des comédiens français, ceux d'hier, 2 volumes, vol. I, p. 499.
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Léo Joubert et Ferdinand Hoefer (dir.), Nouvelle Biographie générale depuis les temps les plus reculés jusqu'à nos jours, vol. 42, Paris, éd. Firmin Didot frères, (lire en ligne), « Robespierre (Maximilien-Marie-Isidore de) », p. 397-436, reprend le témoignage des Mémoires posthumes de Brissot pour affirmer que les deux hommes s'y seraient croisés. Toutefois, Gérard Walter considère que ce passage des Mémoires est apocryphe, Brissot y ayant été employé de 1774 à 1776, tandis que Robespierre n'aurait pas pu y entrer avant 1779. Voir Gérard Walter (1989), p. 22.
Pour Louis Blanc (Histoire de la Révolution française, Paris, Langlois et Leclerq, Furne et Cie, 1857, tome IX, p. 3-20), les auteurs commis à la rédaction de la constitution de l'an I avaient sous les yeux le plan de Condorcet, qui connut d'importantes modifications, même si des propositions du projet de Robespierre passèrent dans le projet final.
Pierre Serna, La République des girouettes : 1789-1815… et au-delà : une anomalie politique, la France de l'extrême centre, Éditions Champ Vallon, , 570 p. (ISBN978-2-87673-413-5, lire en ligne), p. 369.
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Cette phrase est attribuée à Reubell dans Lazare Carnot, Réponse de L. N. M. Carnot, citoyen français, au rapport fait sur la conjuration du 18 fructidor, au Conseil des Cinq-Cents, par J. Ch. Bailleul au nom d'une commission spéciale, (lire en ligne), p. 120-121. Elle est reprise par Paul Barras dans ses Mémoires, les Mémoires sur Carnot par son fils, t. II, p. 93, Ernest Hamel, tome 3 (1867), p. 503 et Albert Mathiez, « Robespierre terroriste », dans Études sur Robespierre, Paris, Messidor/Éditions sociales, 1988, p. 82.
Albert Mathiez, « Robespierre terroriste », dans Études sur Robespierre, op. cit., p. 81, qui cite Ernest Hamel, t. III, p. 157 : « Ô toi, qui trois fois nous as garantis de la fureur des hommes cruels qui demandaient nos têtes ; toi, qui as si bien su distinguer entre les effets de l'erreur et du crime, c'est à toi qu'il appartient aujourd'hui d'achever ton ouvrage et d'accélérer la décision de notre part que mille et mille incidents peuvent encore reculer d'une manière indéfinie »Œuvres de Robespierre, tome III, p. 297.
Voir les Annales révolutionnaires, tome VII, p. 255, et Claude François Beaulieu, Essais historiques sur les causes et les effets de la Révolution de France, avec des notes sur quelques évènements et quelques institutions, 1803, t. VI, p. 10-11, note 1.
Albert Mathiez, « Robespierre terroriste », dans Études sur Robespierre, op. cit., p. 82, qui reprend les Annales révolutionnaires, t. VII, p. 105-106. Voir également Louis Blanc, Histoire de la Révolution française, p. 278 et Claude François Beaulieu, Essais historiques sur les causes et les effets de la Révolution de France, avec des notes sur quelques évènements et quelques institutions, 1803, t. VI, p. 4.
Guillaume Lallement, Choix de rapports, opinions et discours prononcés à la Tribune Nationale depuis 1789 jusqu'à ce jour, A. Eymery, (lire en ligne), p. 251.
Claude-François Beaulieu, Essais historiques sur les causes et les effets de la Révolution de France, vol. VI (lire en ligne), p. 2.
Alain Maillard (dir.), Claude Mazauric (dir.) et Éric Walter (dir.), Présence de Babeuf : lumières, révolution, communisme : actes du colloque international Babeuf, Amiens, les 7, 8 et 9 décembre 1989, Publications de la Sorbonne, , 334 p. (lire en ligne), « De Babeuf au babouvisme : réceptions et appropriations de Babeuf aux XIXe et XXe siècles », p. 268.
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