Les médias parlent beaucoup de la mer d'Iroise dans la période 1975-1985, lorsque treize forages pétroliers infructueux sont effectués en mer Celtique et en Manche. Claude Péridy, « Pas d'or noir en mer d'Iroise » sur letelegramme.fr, 13 septembre 2009 (consulté le 21 octobre 2016). — Les trois permis de recherche d'hydrocarbures délivrés par le ministère de l'Industrie étaient dits « permis d'Armor », « permis d'Iroise » et « permis de mer Celtique ». Ces noms de code ne recouvraient pas une réalité océanographique : l'Armor désigne les eaux entourant l'ensemble de la Bretagne ; et la zone du permis d'Iroise ne correspondait nullement à la mer d'Iroise. Ministère de l'Industrie, Décret du 3 avril 1981, sur legifrance.gouv.fr, Journal officiel de la République française, 9 avril 1981, p. 3630 (consulté le 23 octobre 2016). — Les treize forages se sont faits bien plus au large : onze en mer Celtique et deux en Manche. Le forage le plus proche de la mer d'Iroise (TAK 1 bis) s'effectua au nord-ouest de l'île d'Ouessant, à quelque 14 milles (26 km) de la mer d'Iroise. « Marges du Finistère », sur developpement-durable.gouv.fr (consulté le 23 octobre 2016).
legifrance.gouv.fr
Les médias parlent beaucoup de la mer d'Iroise dans la période 1975-1985, lorsque treize forages pétroliers infructueux sont effectués en mer Celtique et en Manche. Claude Péridy, « Pas d'or noir en mer d'Iroise » sur letelegramme.fr, 13 septembre 2009 (consulté le 21 octobre 2016). — Les trois permis de recherche d'hydrocarbures délivrés par le ministère de l'Industrie étaient dits « permis d'Armor », « permis d'Iroise » et « permis de mer Celtique ». Ces noms de code ne recouvraient pas une réalité océanographique : l'Armor désigne les eaux entourant l'ensemble de la Bretagne ; et la zone du permis d'Iroise ne correspondait nullement à la mer d'Iroise. Ministère de l'Industrie, Décret du 3 avril 1981, sur legifrance.gouv.fr, Journal officiel de la République française, 9 avril 1981, p. 3630 (consulté le 23 octobre 2016). — Les treize forages se sont faits bien plus au large : onze en mer Celtique et deux en Manche. Le forage le plus proche de la mer d'Iroise (TAK 1 bis) s'effectua au nord-ouest de l'île d'Ouessant, à quelque 14 milles (26 km) de la mer d'Iroise. « Marges du Finistère », sur developpement-durable.gouv.fr (consulté le 23 octobre 2016).
Les médias parlent beaucoup de la mer d'Iroise dans la période 1975-1985, lorsque treize forages pétroliers infructueux sont effectués en mer Celtique et en Manche. Claude Péridy, « Pas d'or noir en mer d'Iroise » sur letelegramme.fr, 13 septembre 2009 (consulté le 21 octobre 2016). — Les trois permis de recherche d'hydrocarbures délivrés par le ministère de l'Industrie étaient dits « permis d'Armor », « permis d'Iroise » et « permis de mer Celtique ». Ces noms de code ne recouvraient pas une réalité océanographique : l'Armor désigne les eaux entourant l'ensemble de la Bretagne ; et la zone du permis d'Iroise ne correspondait nullement à la mer d'Iroise. Ministère de l'Industrie, Décret du 3 avril 1981, sur legifrance.gouv.fr, Journal officiel de la République française, 9 avril 1981, p. 3630 (consulté le 23 octobre 2016). — Les treize forages se sont faits bien plus au large : onze en mer Celtique et deux en Manche. Le forage le plus proche de la mer d'Iroise (TAK 1 bis) s'effectua au nord-ouest de l'île d'Ouessant, à quelque 14 milles (26 km) de la mer d'Iroise. « Marges du Finistère », sur developpement-durable.gouv.fr (consulté le 23 octobre 2016).