Michel Onfray (French Wikipedia)

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  • (en-US) Ian Birchall, « Reading Camus Carefully ? : a review of L’Ordre libertaire : la vie philosophique d’Albert Camus by Michel Onfray », Historical Materialism, vol. 27, no 1,‎ , p. 306-318 (ISSN 1465-4466 et 1569-206X, DOI 10.1163/1569206X-12341502, lire en ligne, consulté le ).

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  • Renaud Maes et David Paternotte, « Les nouveaux lieux communs de la droite », La Revue Nouvelle, vol. N° 5, no 5,‎ , p. 34–37 (ISSN 0035-3809, DOI 10.3917/rn.205.0034, lire en ligne, consulté le ) :

    « D'autre part, cette initiative dévoile des affinités intellectuelles et permet de mieux comprendre la circulation de certaines idées. Michel Onfray, un penseur historiquement classé à gauche et qui se qualifie toujours comme tel, est de plus en plus célébré à droite où on le présente comme un défenseur de la liberté d'expression et un chevalier de la pensée libre. Lui-même, dans son livre Théorie de la dictature, utilise les écrits de l'écrivain communiste George Orwell (1984 et La Ferme des animaux) pour dénoncer les dérives totalitaires du « gauchisme culturel » et de l'« Empire maastrichien » De telles proximités ne sont pas neuves et nombre d’auteur·e·s ont souligné combien tant l'extrême droite que le néolibéralisme ont réussi à diffuser leurs idées au-delà de leurs rangs, transformant durablement le débat public. Comme le soulignait déjà en 1999 la sociologue canadienne Dorothy E. Smith au sujet de la notion de « politiquement correct », ces termes fonctionnent comme des « codes idéologiques »  Ils sont répétés à l'envi par des locuteurs chaque fois plus diversifiés, au point que l'origine de ces termes est oubliée. La répétition de ces termes, qui organisent de manière croissante l'espace de parole et de pensée, leur permet de s’autoreproduire et d’acquérir une vie distincte de celles et ceux qui les ont inventés. À la faveur d’une certaine normalisation de l’extrême droite, ces proximités intellectuelles voire personnelles sont peut-être devenues plus fréquentes. Elles contribuent à naturaliser un certain nombre d’idées qui acquièrent de cette façon le statut d’évidence. Ces idées, élaborées il y a parfois plusieurs décennies, circulent désormais loin des cénacles souvent confidentiels où elles sont nées. Elles se banalisent et traversent les frontières, sans pour autant que leur généalogie soit visible ou connue. »

  • Philippe Foussier, « Laurent Joly. La falsification de l’histoire. Éric Zemmour, l’extrême droite, Vichy et les juifs », Humanisme, vol. N° 335, no 2,‎ , p. 122–123 (ISSN 0018-7364, DOI 10.3917/huma.335.0122, lire en ligne, consulté le ) :

    « Laurent Joly souligne aussi la complaisance du très médiatique philosophe Michel Onfray à l’égard de Zemmour ou encore comment « le politologue Jean-Yves Camus s’est embourbé dans des distinctions oiseuses dont la conclusion est que l’auteur du Suicide français ne doit pas être classé à l’extrême droite, qu’il est surtout gaulliste ». »

  • Philippe Raynaud, « La nébuleuse intellectuelle du Front national », Pouvoirs, vol. 157, no 2,‎ , p. 75 (ISSN 0152-0768 et 2101-0390, DOI 10.3917/pouv.157.0075, lire en ligne, consulté le )
  • Philippe Corcuff, Stéphane Lavignotte et Emmanuel Dessendier, « Le confusionnisme: Un basculement qui a à voir avec un quasi-effondrement », EcoRev', vol. N° 52, no 1,‎ , p. 195–216 (ISSN 1628-6391, DOI 10.3917/ecorev.052.0195, lire en ligne, consulté le ) :

    « une partie de la gauche va alors recomposer son imaginaire laïc autour d’une gauche dite « républicaine » – qui est en fait réactionnaire –, celle incarnée par Manuel Valls, ministre de l’Intérieur en 2012-2014 et Premier ministre en 2014-2016, ainsi que par le groupuscule Le Printemps républicain, créé en mars 2016. On constate par exemple que Marianne, de centre-gauche « républicain », a à partir de cette époque une partie de ses interlocuteurs – comme l’ancien socialiste Laurent Bouvet, le libertaire « souverainiste » Michel Onfray ou le conservateur québécois Mathieu Bock-Côté – en commun avec la droite radicalisée du FigaroVox et avec l’extrême droite de Valeurs actuelles, notamment du fait du rôle tenu par Natacha Polony qui vient du « chevènementisme » dans sa dernière version souverainiste. »

  • Nicolas Chevassus-au-Louis, « La Petite usine de Michel Onfray : enquête sur un homme qui se prenait pour un volcan », Revue du crieur, La Découverte et Médiapart, no 1,‎ , p. 90 (ISSN 2428-4068 et 2649-7565, DOI 10.3917/crieu.001.0090, lire en ligne Accès libre, consulté le )
  • Vincent Citot, « Décadence de M. Onfray – philosophie de l’histoire, histoire savante et para-histoire philosophique », Le Philosophoire, no 47,‎ , p. 205-210 (lire en ligne Accès libre).
  • « Communiqué sur le livre de Michel Onfray - Le Crépuscule d'une idole : L'Affabulation freudienne », sur cairn.info/revue-che-vuoi, .
  • Jean-Pierre Garnier, « « Philosophie solaire ? » Philosophie sommaire : Quand Michel Onfray recycle Albert Camus », L'homme et la société, nos 183-184,‎ , p. 261-282 (lire en ligne Accès libre).
  • Philippe Raynaud, « La nébuleuse intellectuelle du Front national », Pouvoirs, no 157,‎ , p. 75-84 (lire en ligne Accès libre).

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  • Nicolas de Bremond d’Ars, « Le nouvel anti-christianisme. Entretiens avec Marc Leboucher », Archives de sciences sociales des religions, Paris, Desclée de Brouwer, no 138,‎ 2005 et 2007, article no 73 (DOI https://doi.org/10.4000/assr.6962, lire en ligne Accès libre)
  • Renaud Maes et David Paternotte, « Les nouveaux lieux communs de la droite », La Revue Nouvelle, vol. N° 5, no 5,‎ , p. 34–37 (ISSN 0035-3809, DOI 10.3917/rn.205.0034, lire en ligne, consulté le ) :

    « D'autre part, cette initiative dévoile des affinités intellectuelles et permet de mieux comprendre la circulation de certaines idées. Michel Onfray, un penseur historiquement classé à gauche et qui se qualifie toujours comme tel, est de plus en plus célébré à droite où on le présente comme un défenseur de la liberté d'expression et un chevalier de la pensée libre. Lui-même, dans son livre Théorie de la dictature, utilise les écrits de l'écrivain communiste George Orwell (1984 et La Ferme des animaux) pour dénoncer les dérives totalitaires du « gauchisme culturel » et de l'« Empire maastrichien » De telles proximités ne sont pas neuves et nombre d’auteur·e·s ont souligné combien tant l'extrême droite que le néolibéralisme ont réussi à diffuser leurs idées au-delà de leurs rangs, transformant durablement le débat public. Comme le soulignait déjà en 1999 la sociologue canadienne Dorothy E. Smith au sujet de la notion de « politiquement correct », ces termes fonctionnent comme des « codes idéologiques »  Ils sont répétés à l'envi par des locuteurs chaque fois plus diversifiés, au point que l'origine de ces termes est oubliée. La répétition de ces termes, qui organisent de manière croissante l'espace de parole et de pensée, leur permet de s’autoreproduire et d’acquérir une vie distincte de celles et ceux qui les ont inventés. À la faveur d’une certaine normalisation de l’extrême droite, ces proximités intellectuelles voire personnelles sont peut-être devenues plus fréquentes. Elles contribuent à naturaliser un certain nombre d’idées qui acquièrent de cette façon le statut d’évidence. Ces idées, élaborées il y a parfois plusieurs décennies, circulent désormais loin des cénacles souvent confidentiels où elles sont nées. Elles se banalisent et traversent les frontières, sans pour autant que leur généalogie soit visible ou connue. »

  • Philippe Foussier, « Laurent Joly. La falsification de l’histoire. Éric Zemmour, l’extrême droite, Vichy et les juifs », Humanisme, vol. N° 335, no 2,‎ , p. 122–123 (ISSN 0018-7364, DOI 10.3917/huma.335.0122, lire en ligne, consulté le ) :

    « Laurent Joly souligne aussi la complaisance du très médiatique philosophe Michel Onfray à l’égard de Zemmour ou encore comment « le politologue Jean-Yves Camus s’est embourbé dans des distinctions oiseuses dont la conclusion est que l’auteur du Suicide français ne doit pas être classé à l’extrême droite, qu’il est surtout gaulliste ». »

  • Philippe Raynaud, « La nébuleuse intellectuelle du Front national », Pouvoirs, vol. 157, no 2,‎ , p. 75 (ISSN 0152-0768 et 2101-0390, DOI 10.3917/pouv.157.0075, lire en ligne, consulté le )
  • Philippe Corcuff, Stéphane Lavignotte et Emmanuel Dessendier, « Le confusionnisme: Un basculement qui a à voir avec un quasi-effondrement », EcoRev', vol. N° 52, no 1,‎ , p. 195–216 (ISSN 1628-6391, DOI 10.3917/ecorev.052.0195, lire en ligne, consulté le ) :

    « une partie de la gauche va alors recomposer son imaginaire laïc autour d’une gauche dite « républicaine » – qui est en fait réactionnaire –, celle incarnée par Manuel Valls, ministre de l’Intérieur en 2012-2014 et Premier ministre en 2014-2016, ainsi que par le groupuscule Le Printemps républicain, créé en mars 2016. On constate par exemple que Marianne, de centre-gauche « républicain », a à partir de cette époque une partie de ses interlocuteurs – comme l’ancien socialiste Laurent Bouvet, le libertaire « souverainiste » Michel Onfray ou le conservateur québécois Mathieu Bock-Côté – en commun avec la droite radicalisée du FigaroVox et avec l’extrême droite de Valeurs actuelles, notamment du fait du rôle tenu par Natacha Polony qui vient du « chevènementisme » dans sa dernière version souverainiste. »

  • [Chevassus] Nicolas Chevassus-au-Louis, « La Petite usine de Michel Onfray : Enquête sur un homme qui se prenait pour un volcan », Revue du crieur, La Découverte et Médiapart, no 1,‎ , p. 90-103 (ISBN 9782707186393, ISSN 2428-4068 et 2649-7565, DOI 10.3917/crieu.001.0090, lire en ligne Accès libre). Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article
    Article republié sur le site de Mediapart [lire en ligne (page consultée le 26/08/2021)].
  • Jacques Gleyse, « Hédonisme philosophique matérialiste et philosophie du goût et de l'odorat », Corps et culture, no 2,‎ (ISSN 1268-5631, DOI 10.4000/corpsetculture.374, lire en ligne Accès libre, consulté le ), § 7-8.
  • Nicolas Chevassus-au-Louis, « La Petite usine de Michel Onfray : enquête sur un homme qui se prenait pour un volcan », Revue du crieur, La Découverte et Médiapart, no 1,‎ , p. 90 (ISSN 2428-4068 et 2649-7565, DOI 10.3917/crieu.001.0090, lire en ligne Accès libre, consulté le )
  • (en-US) Ian Birchall, « Reading Camus Carefully ? : a review of L’Ordre libertaire : la vie philosophique d’Albert Camus by Michel Onfray », Historical Materialism, vol. 27, no 1,‎ , p. 306-318 (ISSN 1465-4466 et 1569-206X, DOI 10.1163/1569206X-12341502, lire en ligne, consulté le ).

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editions-epervier.fr

  • « Michel Onfray, une imposture intellectuelle », sur editions-epervier.fr, (consulté le ).
    Cette présentation du livre de Michel Paraire, sur le site des Éditions de l'Épervier, inclut en annexe le texte d'une critique, signée Antonio Fischetti et titrée « Un costard pour Onfray » publiée le dans les colonnes de Charlie Hebdo.

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  • Alain Jugnon, « Contre Onfray », sur éditions-lignes.com, (consulté le ).

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  • Lou Marin, « Michel Onfray contre l'historiographie anarchiste dans son livre sur Albert Camus », Le Monde libertaire, no 1658, du 2 au 8 février 2012, p. 15., texte intégral.
  • Amédée Pache, « Guerre culturelle autour d'Albert Camus », Le Monde libertaire, no 1726,‎ (lire en ligne Accès libre).

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  • Nicolas de Bremond d’Ars, « Le nouvel anti-christianisme. Entretiens avec Marc Leboucher », Archives de sciences sociales des religions, Paris, Desclée de Brouwer, no 138,‎ 2005 et 2007, article no 73 (DOI https://doi.org/10.4000/assr.6962, lire en ligne Accès libre)

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