Mireille Balin (1909-1968). Le douloureux destin d'une "vamp" du cinéma français, sur Anachronic Blog, par Anachronique Val dans CINE LADIES le 2 août 2016 : « Transférée à Fresne, Mireille est jugée pour faits de collaboration, on lui reproche bien sûr sa liaison amoureuse mais aussi sa participation au film Les Cadets de l'Alcazar. »
encinematheque.fr
« Mireille Balin », sur encinematheque.fr (consulté le ).
Daniel Arsand, Mireille Balin ou la beauté foudroyée, Lyon, La Manufacture, 1989, 76 p. (livre électronique Google non paginé) : « Mireille Balin est davantage une belle aventurière, une femme d'escale, qu'une héroïne naturaliste. Si dans le roman d'Alphonse Daudet, Sidonie Chèbe est une garce intégrale, dans le film de Léon Mathot, elle est capable de repentir. »
Philippe M, « Divers articles sur Mireille Balin (1934-1943) », sur La Belle Equipe, (consulté le ) : « Mais également revient en détail sur la période de liaison de Mireille Balin avec un officier allemand, Birl Deissböck (et non Birl Desbok) […] Ma Mère est Florentine. […] Finalement, quatre [en fait trois] mois plus tard, Mireille Balin est libérée mais sa carrière est finie [voir aussi la photo de l'article du journal communiste Ce Soir du ] ».
Les Gens du cinéma, « Fiche de Mireille Balin », sur lesgensducinema.com (consulté le ) : « Extrait de naissance n° 219/1909 - Acte de décès n° 2095/1968 ».
Françoise Giroud, « Une femme fatale », éditorial, archive du 3 mars 2016, L'Express, (consulté le ) : « Le fisc, en revanche, qu'elle avait superbement méprisé, la poursuivit de ses assiduités. L'essentiel de ce qu'elle possédait y passa. […] Depuis de longues années, elle subsistait avec 20 Francs par jour que lui versait une organisation charitable dévouée aux artistes nécessiteux, "La roue tourne". »