Molière (French Wikipedia)

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academie-francaise.fr

  • « Il y a des comédiens ici qui portaient mon nom autrefois ; je leur ai fait dire de le quitter et vous croyez bien que je n'ai eu garde de les aller voir. » Lettre adressée de Lyon, le , par le prince de Conti à son directeur spirituel Gabriel de Ciron. Citée dans un discours de Wladimir d'Ormesson.

archive.org

  • Nicolas Boileau confiera plus tard à son ami Pierre Le Verrier : « Tout abbé qu'il était, jamais homme ne fut plus passionné pour la comédie. Il était ami de Molière, qui […] souffrit que cet abbé allât dans leurs loges, et c'était lui qui mettait la paix entre elles. Car à coup sûr elles sont toujours brouillées ensemble. » (Les Satires de Boileau commentées par lui-même, p. 41.)
  • Correspondance de Roger de Rabutin, comte de Bussy avec sa famille et ses amis, t. II, Paris, (lire en ligne), p. 147 et Mémoires du P. René Rapin, t. I, Paris, (lire en ligne), iv.
  • Scarron, Le Roman comique.
  • Émile Magne, Une amie inconnue de Molière; suivi de Molière et l'Université, (lire en ligne), p. 22.

bnf.fr

gallica.bnf.fr

books.google.com

  • « Il a connu le caractère du comique et l’exécute naturellement. L’invention de ses meilleures pièces est inventée  [sic], mais judicieusement. Sa morale est bonne et il n’a qu’à se garder de la scurrilité [bouffonnerie]. » Jugement extrait de la « Liste de quelques gens de lettres vivant en 1662 » (manuscrit conservé à la BNF, cote Ms. fr. 23045), reproduite dans Desmolets, Mémoires de littérature et d'histoire, Paris, 1749, II, 1, p. 24, consultable en ligne sur Google Livres.

bowdoin.edu

se17.bowdoin.edu

  • Sophia Khadraoui et Sandrine Simeon, « Une imposture peut en cacher une autre : un frontispice de Tartuffe démasqué », Cahiers du dix-septième, vol. 13, no 2,‎ (lire en ligne).

calmann-levy.fr

cncs.fr

cnrtl.fr

comedie-francaise.fr

denise-pelletier.qc.ca

doi.org

dx.doi.org

ena.fr

google.ca

books.google.ca

google.fr

books.google.fr

  • La Polyxene de Moliere, 3e édition, (lire en ligne).
  • Daniel de Cosnac, qui était alors aumônier de Conti, a raconté dans ses Mémoires (Paris, 1852, tome I, p. 127-128), la manière dont il imposa Molière et ses camarades contre l'avis du prince, qui s'était engagé avec une troupe concurrente.
  • Voir notamment La Fameuse Comédienne, p. 10-12. Pierre Bayle accorde beaucoup de crédit à cet ouvrage et en cite de larges extraits dans l'article « Poquelin » de son Dictionnaire historique et critique.
  • Dans sa première remarque sur la IIe Satire de Boileau, dédiée à Molière, Claude Brossette écrit : « Elle fut faite en 1664. La même année, l'auteur étant chez M. Du Broussin avec M. le duc de Vitry et Molière, ce dernier y devait lire une traduction de Lucrèce en vers français qu'il avait faite dans sa jeunesse. En attendant le dîner, on pria M. Despréaux [= Boileau] de réciter la satire adressée à Molière, et Molière ne voulut plus lire sa traduction, craignant qu'elle ne fût pas assez belle pour soutenir les louanges qu'il venait de recevoir. Il se contenta de lire le premier acte du Misanthrope, auquel il travaillait en ce temps-là […]. » (Œuvres de Mr. Boileau Despréaux, tome I, Genève, 1716, p. 21, en ligne.)
  • Pierre Bayle rend compte, dans son Dictionnaire historique et critique, de la légende alors répandue selon laquelle Molière serait mort sur scène : « Une infinité de gens ont dit qu'il expira dans cette partie de la pièce […] Cette singularité parut tenir quelque chose du merveilleux, et fournit aux poëtes une ample matière de pointes et d'allusions ingénieuses : c'est apparemment ce qui fit que l'on ajouta beaucoup foi à ce conte. Il y eut même des gens qui le tournèrent du côté de la réflexion et qui moralisèrent beaucoup sur cet incident. » (Dictionnaire historique et critique, p. 870.).
  • Menagiana ou bons mots, rencontres agréables, pensées judicieuses et observations curieuses de M. Ménage, I, Paris, 1694, p. 233, accessible sur Google Livres.
    Quoi qu'en dise cet auteur, le langage précieux n'a pas disparu, comme le souligneront Voltaire et divers commentateurs (voir Notice des Précieuses ridicules, p. 196-198).
  • Paul Lacroix, La Jeunesse de Molière, Bruxelles, 1856, p. 58.
  • Voir Isambert, Taillandier & Decrusy, Recueil général des anciennes lois françaises, depuis l'an 420 jusqu'à la Révolution de 1789, tome XVI, Paris, 1829, p. 536-537.
  • Joseph de Voisin, La Défense du traitté de Monseigneur le prince de Conti touchant la comédie et les spectacles, Paris, (lire en ligne), p. 419.
  • Antoine de Montfleury 1663 [lire en ligne].
  • Voir Montchesnay 1742, p. 35-36. Le même échange est également rapporté avec de légères variations dans les Mémoires sur la vie de Jean Racine, p. 262
  • Mémoires sur la vie de Jean Racine, p. 263.
  • Dictionnaire historique et critique, p. 870.

hal.science

imdb.com

issn.org

portal.issn.org

jstor.org

  • (en) Roger W. Herzel, « The Decor of Molière's Stage: The Testimony of Brissart and Chauveau », PMLA, vol. 93, no 5,‎ (JSTOR 461779).

lapresse.ca

lefigaro.fr

lefigaro.fr

  • Nathalie Simon, « Les auteurs les plus joués au théâtre », Le Figaro,‎ (lire en ligne Accès libre, consulté le ).

tvmag.lefigaro.fr

lemonde.fr

  • Brigitte Salino, Jérôme Gautheret, Frédéric Lemaître et Isabelle Piquer, « Molière, un auteur au Panthéon des célébrités mondiales », Le Monde,‎ (lire en ligne)

lhistoire.fr

musimem.com

noscotes.com

ouest-france.fr

paris-sorbonne.fr

moliere-corneille.paris-sorbonne.fr

  • Molière s'est intéressé plus tard à l'épicurisme dans la version radicale qu'en donne le De rerum natura de Lucrèce, dont il a traduit des fragments du deuxième livre dans un mélange de vers et de prose, dont rien ne subsiste aujourd'hui. Pas moins de six témoignages contemporains font état de cette « traduction ». Voir le texte de ces témoignages sur le site Molière-Corneille et à la date du dans les Éphémérides de François Rey, accessibles en ligne. Mais s'il faut en croire Michel de Marolles, cette traduction, qui était plutôt une adaptation comme d'autres avant lui s'y étaient exercés (en particulier Charles Cotin dans son Théoclée de 1646), avait été faite d'après la traduction en prose que Marolles lui-même avait fait paraître en 1650, puis en 1659. Celui-ci écrit dans la préface des Six livres de Lucrèce. De la nature des choses, troisième édition, 1677 : « Plusieurs ont ouï parler de quelques vers [d']après la traduction en prose qui fut faite de Lucrèce dès l’année 1649  [sic], dont il y a eu deux éditions. Ces vers n’ont vu le jour que par la bouche du comédien Molière, qui les avait faits [comprendre : ils n'ont pas été imprimés] […] Il les avait composés, non pas de suite, mais selon les divers sujets tirés des livres de ce poète, lesquels lui avaient plu davantage, et les avait faits de diverses mesures. Je ne sais s’il se fût donné la peine de travailler sur les points de doctrine et sur les raisonnements philosophiques de cet auteur, qui sont si difficiles, mais il n’y a pas grande apparence de le croire, parce qu’en cela même il lui eût fallu donner une application extraordinaire, où je ne pense pas que son loisir, ou peut-être quelque chose de plus, le lui eût pu permettre, quelque secours qu’il eût pu avoir d’ailleurs, comme lui-même ne l’avait pas nié à ceux qui voulurent savoir de lui de quelle sorte il en avait usé pour y réussir aussi bien qu’il faisait, leur ayant dit plus d’une fois qu’il s’était servi de la version en prose dédiée [par Marolles, en 1650] à la Sérénissime reine Christine de Suède. »
  • Pour une consultation des actes notariés dans lesquels signent les comédiens avec leurs noms de « fief », voir les ouvrages de Sophie Wilma Deierkauf-Holsboer sur Le Théâtre de l'Hôtel de Bourgogne (Paris, Nizet, 1968) ; sur Le Théâtre du Marais (Paris, Nizet, 1954) et d'Alan Howe sur Le Théâtre professionnel à Paris, 1600-1649 (Paris, Archives nationales, 2000). La plus récente mise au point sur ce sujet se trouve à cette adresse.
  • Jean Donneau de Visé, « Abrégé de la vie de Molière ».
  • « Molière-Corneille », sur www.moliere-corneille.paris-sorbonne.fr (consulté le ).
  • Comment on invente des anomalies dans les vies et les relations de Molière et de Corneille.

moliere.paris-sorbonne.fr

  • Molière s'est intéressé plus tard à l'épicurisme dans la version radicale qu'en donne le De rerum natura de Lucrèce, dont il a traduit des fragments du deuxième livre dans un mélange de vers et de prose, dont rien ne subsiste aujourd'hui. Pas moins de six témoignages contemporains font état de cette « traduction ». Voir le texte de ces témoignages sur le site Molière-Corneille et à la date du dans les Éphémérides de François Rey, accessibles en ligne. Mais s'il faut en croire Michel de Marolles, cette traduction, qui était plutôt une adaptation comme d'autres avant lui s'y étaient exercés (en particulier Charles Cotin dans son Théoclée de 1646), avait été faite d'après la traduction en prose que Marolles lui-même avait fait paraître en 1650, puis en 1659. Celui-ci écrit dans la préface des Six livres de Lucrèce. De la nature des choses, troisième édition, 1677 : « Plusieurs ont ouï parler de quelques vers [d']après la traduction en prose qui fut faite de Lucrèce dès l’année 1649  [sic], dont il y a eu deux éditions. Ces vers n’ont vu le jour que par la bouche du comédien Molière, qui les avait faits [comprendre : ils n'ont pas été imprimés] […] Il les avait composés, non pas de suite, mais selon les divers sujets tirés des livres de ce poète, lesquels lui avaient plu davantage, et les avait faits de diverses mesures. Je ne sais s’il se fût donné la peine de travailler sur les points de doctrine et sur les raisonnements philosophiques de cet auteur, qui sont si difficiles, mais il n’y a pas grande apparence de le croire, parce qu’en cela même il lui eût fallu donner une application extraordinaire, où je ne pense pas que son loisir, ou peut-être quelque chose de plus, le lui eût pu permettre, quelque secours qu’il eût pu avoir d’ailleurs, comme lui-même ne l’avait pas nié à ceux qui voulurent savoir de lui de quelle sorte il en avait usé pour y réussir aussi bien qu’il faisait, leur ayant dit plus d’une fois qu’il s’était servi de la version en prose dédiée [par Marolles, en 1650] à la Sérénissime reine Christine de Suède. »
  • Les trois réponses sont : Anonyme, Réponse aux Observations, 1665 ; Anonyme, Lettre sur les Observations, 1665 ; Charles Robinet, Apostille, 1665.

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