Henri Bouchot, « Gavarni (fin) », Le Bulletin de l'art ancien et moderne, vol. 7, no 242, , p. 6–7 (lire en ligne).
« Nouvelles diverses : Paris et département », Le Ménestrel, vol. 69, no 9 (3753), , p. 71 (lire en ligne).
« Actualités rétrospectives : Gavarni et les médecins », La Chronique médicale, vol. 10, no 8, , p. 254 (lire en ligne).
Fernand Bournon, La voie publique et son décor : Colonnes, tours, portes, obélisques, fontaines, statues, etc., Paris, Henri Laurens, coll. « Les richesses d'art de la ville de Paris », , 226 p., p. 203 [lire en ligne].
H. C., « Les Fêtes Gavarni données au Moulin-Rouge, le , et dont le produit doit être affecté à l'érection d'un monument à Gavarni, sur la place Saint-Georges, à Paris », Revue universelle : Recueil documentaire universel et illustré, t. 2, no 61, , p. 229–230 (lire en ligne).
« La vie et l'image : Le monument de Gavarni, à Paris », Revue universelle : Recueil documentaire universel et illustré, t. 4, no 124, , p. 702–703 (lire en ligne).
catalogue.bnf.fr
Émile Blémont, Gavarni, prologue dit au théâtre national de l'Opéra-Comique, par Mlle Marie Lecomte, pour la représentation du au bénéfice du monument de Gavarni, Paris, A. Lemerre, , 14 p. (BNF31825617).
Gavarni semble avoir été le premier à populariser le terme de lorette pour désigner une jeune femme un peu légère (une midinette) dans ses gravures pour Le Charivari à partir de 1845. En 1852, les frères Goncourt publiaient La Lorette, feuilleton illustré par des dessins de Gavarni qui eut un immense succès. Par la suite, le terme prit une connotation plus évidente de grisette (prostituée). Voir cet article sur le site Frères Goncourt.fr.