« Mémoires Combattantes - Les origines (1765-1857) », sur Groupe de recherche Achac (consulté le ) : « En 1688, le jeune Louis Aniaba venu de Côte d’Ivoire, arrive à la cour du roi Louis XIV. Admis comme mousquetaire, il devient le « premier officier noir de l’armée française » et capitaine du régiment de cavalerie en Picardie. »
cantal.fr
archives.cantal.fr
présent au baptême de ses enfants Gilbert Henry [5] et Henry Étienne [6] le 17 avril 1757 à Aurillac (Archives Départementales du Cantal en ligne)
culture41.fr
archives.culture41.fr
dit ancien mousquetaire du Roy dans la permission de marier délivrée par le curé de Monteaux le 9 mai 1729 [4] (Archives Départementales du Loir-et-Cher en ligne)
geneanet.org
en.geneanet.org
Kléber, Jean-Baptiste, 1753-1800, Kléber en Vendée (1793-1794), , 622 p. (lire en ligne)
Mathilde Ragot, « Qui étaient les vrais mousquetaires ? », www.geo.fr, (lire en ligne, consulté le ).
google.be
books.google.be
Pierre Claude de Guignard, L'école de Mars, tome I, Paris, chez Nicolas Simart, 1725, p .448 : « Les Etendarts de la premiere Compagnie ont pour devise une Bombe qui tombe sur une Ville, avec ces mots. Quo ruit et letum »Lire en ligne.
google.fr
books.google.fr
« Catalogue analytique des archives de Monsieur le baron de Joursanvault, 1838 », J.Techener, (consulté le ) : « Louis Aniaba, par la grâce de Dieu, roi d'Eissinies, à la Côte d'Or, ... institue, sous la protection de la très sainte Vierge, un ordre de chevalerie sous le nom de l'Ordre de l'Étoile de Notre-Dame, et voulant laisser en France, après son départ, des monumens de sa dévotion et reconnaître les services qui lui ont été rendus par Oudar-Augustin Justinat, auteur du grand tableau qu'il a donné à l'église Notre-Dame de Paris, où il est représenté à genoux devant la sainte Vierge et son enfant Jésus qui lui remet le collier de son dit ordre, en présence du roi de France, son bienfaiteur et parrain, et de M. l'évêque de Meaux, il institue ledit Justina, chevalier de son ordre (Paris, 12 février 1701) »
dit ancien mousquetaire du Roy au baptême de ses enfants Jean Louis Gérald le 27 mai 1754[1] et Catherine Hélène Anne le 8 mars 1756[2] à Montpellier (Archives Départementales de l'Hérault en ligne)
qualifié de mousquetaire du roy au baptême de sa fille Louise Suzanne Dauphine, le 4 janvier 1757[3] à Montpellier (Archives Départementales de l'Hérault en ligne)
Vincent Capdeguy, « Un « roitelet nègre » à la cour de Louis XIV », sur Blog Histoire Globale, (consulté le ) : « Signe du bruissement suscité, le fait est également relaté, avec quelques erreurs mais aussi quelques informations complémentaires, par le Mercure historique et politique, contenant l’état présent de l’Europe, ce qui se passe dans toutes les cours, l’intérêt des princes, leurs brigues, & généralement tout ce qu’il y a de curieux pour le mois de mars 1701, pp. 319-320., autre journal publié en Hollande :
« Le prince Louis Annibal, roi de Sirie sur la Côte d’Or en Afrique, qui était à Paris depuis longtemps, & qui a été instruit & baptisé par l’évêque de Meaux, le Roi ayant été son parrain, communia le 12 du mois dernier par les mains du cardinal de Noailles, & présenta en même temps un tableau à la Vierge, sous la protection de laquelle il a mis ses États, ayant fait vœu, quand il sera de retour, de travailler à la conversion de ses peuples.» »