Nicolas Sarkozy (alors candidat à l'élection présidentielle) : « Vous avez le droit de faire littérature ancienne, mais le contribuable n’a pas forcément à payer vos études de littérature ancienne si au bout il y a 1000 étudiants pour deux places. Les universités auront davantage d’argent pour créer des filières dans l’informatique, dans les mathématiques, dans les sciences économiques. Le plaisir de la connaissance est formidable mais l’État doit se préoccuper d’abord de la réussite professionnelle des jeunes. » Propos transcrits par 20 minutes, «Le Pen ne m'intéresse pas, son électorat, si», 15 avril 2007
Que disent les indicateurs ?, entretien avec Jean-Pierre Merlet, animateur du groupe de réflexion sur les
indicateurs de la commission d’évaluation de l’INRIA, Lettre d'information de l'INRIA, no 59, mai 2007
Des étudiants participent au mouvement des enseignants-chercheurs, La Croix, 4 février 2009. L'article cite Claire Guichet, la présidente de la Fage, qui déclare : « Nous ne sommes ni pour ni contre le mouvement des enseignants-chercheurs. Tout simplement, leurs revendications ne sont pas les nôtres. »
« Les facs mobilisées voient leur image se dégrader », Christian Bonrepaux, Benoît Floc'h et Catherine Rollot, Le Monde, édition du 01/04/2009. [lire en ligne]
Albert Fert : « Dans des domaines de recherche impliquant des technologies lourdes, des charges d'enseignement trop importantes (3 fois plus qu'à mes débuts) font que beaucoup de jeunes enseignants-chercheurs ne peuvent s'investir suffisamment dans leur recherche pour réellement prendre place dans la compétition internationale. Le CNRS envisage la création de « chaires CNRS », postes d'accueil qui devraient permettre à de jeunes enseignants-chercheurs de s'investir pendant cinq ou dix ans sur leur projet de recherche. », Albert Fert : "Gardons un CNRS fort pour réussir la réforme de la recherche", Mediapart, 26 juin 2008