À titre d’exemple, Voltaire, influencé par Jérôme Wolf, voit en Byzance un « modèle d’obscurantisme religieux et fossoyeur des arts » (Véronique Prat, Les fastes de Byzance sur [1], 2 janvier 2009) ; Thouvenel écrit que « l’Orient est un ramassis de détritus de races et de nationalités dont aucune n’est digne de notre respect » (lettre de 1852 à Napoléon III, correspondance d'Edouard-Antoine de Thouvenel, Archives nationales, microfilms sous la cote 255AP sur Archives nationales) et Edward Gibbon décrit l’Empire byzantin comme un état dogmatique (c’est l’un des sens du mot « orthodoxe ») n’ayant rien à léguer à l’Occident (Edward Gibbon, Histoire de la décadence et de la chute de l'Empire romain).
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Robert Philippe, L'énergie au moyen âge, Paris, Sorbonne, (lire en ligne)
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À titre d’exemple, Voltaire, influencé par Jérôme Wolf, voit en Byzance un « modèle d’obscurantisme religieux et fossoyeur des arts » (Véronique Prat, Les fastes de Byzance sur [1], 2 janvier 2009) ; Thouvenel écrit que « l’Orient est un ramassis de détritus de races et de nationalités dont aucune n’est digne de notre respect » (lettre de 1852 à Napoléon III, correspondance d'Edouard-Antoine de Thouvenel, Archives nationales, microfilms sous la cote 255AP sur Archives nationales) et Edward Gibbon décrit l’Empire byzantin comme un état dogmatique (c’est l’un des sens du mot « orthodoxe ») n’ayant rien à léguer à l’Occident (Edward Gibbon, Histoire de la décadence et de la chute de l'Empire romain).
Antoine Dauphragne, « Le Moyen Âge dans les jeux de rôle : simulation ludique et matière historique », dans Séverine Abiker, Anne Besson, Florence Plet-Nicolas, Le Moyen Âge en jeu, Pessac, Presses Universitaires de Bordeaux, , 408 p. (ISBN978-2-903440-86-2, lire en ligne), p. 69-80
romanity.org
Clifton R. Fox, (en) What, if anything, is a Byzantine ?, Lone Star College, Tomball 1996 : [4] vu le 21 oct. 2009.
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À la bataille de Manzikert l'Empire Byzantin perdit l'est et le centre de l'Anatolie mais pas l'Anatolie tout entière comme le montrent par erreur de nombreuses sources secondaires, à commencer par les cartes historiques de William Shepherd telle [2] et celles qui s'en inspirent telle [3]; cf. Jean-Claude Cheynet, « Mantzikert: un désastre militaire? », Revue internationale des études byzantines, Bruxelles 1980, p. 417-418.