Fare manaha signifie « Maison ouverte » dans le sens de musée en tahitien : [lire en ligne]. Le nom a été modifié lors de l'ouverture du nouveau musée en 2023. Fare manaha devient Te Fare Ia’Manaha renforçant l'identité polynésienne du lieu.
Dominique Schmitt, Miriama Bono aux commandes du Musée de Tahiti et des îles dans « Tahiti Infos, les informations de Tahiti » [2] consulté le 8 février 2018-02-08
D’après la légende tahitienne, la stèle aurait été gravée en mémoire de l'épouse de Tetauri et de ses enfants jumeaux. À la suite d'une guerre, dans laquelle le roi (ariki nui, « grand guerrier ») Tetauri fut vaincu, il se réfugia avec sa femme enceinte dans la vallée de Tīpaeru’ì. Un jour qu’il était à la pêche, sa femme fut prise des douleurs de l’enfantement et donna naissance, seule, aux jumeaux, mais ils moururent peu après. À son retour, déchiré de souffrance, Tetauri les enterra sur sa terre d’Oteoteroa auprès du cours d’eau Tīpaeru’ì et depuis, un esprit qui peut prendre la forme d’une anguille géante les protège. Cette anguille est représentée par la forme étrange au dessus des têtes des jumeaux : voir Bengt Danielson, « Tahiti autrefois » in Mémorial polynésien et (en) John White, The Ancient History of the Maori, his Mythology and Traditions, vol. 5 « Tai’i-Nui », Wellington, New-Zealand government publ., (OCLC889957449, présentation en ligne)
worldcat.org
D’après la légende tahitienne, la stèle aurait été gravée en mémoire de l'épouse de Tetauri et de ses enfants jumeaux. À la suite d'une guerre, dans laquelle le roi (ariki nui, « grand guerrier ») Tetauri fut vaincu, il se réfugia avec sa femme enceinte dans la vallée de Tīpaeru’ì. Un jour qu’il était à la pêche, sa femme fut prise des douleurs de l’enfantement et donna naissance, seule, aux jumeaux, mais ils moururent peu après. À son retour, déchiré de souffrance, Tetauri les enterra sur sa terre d’Oteoteroa auprès du cours d’eau Tīpaeru’ì et depuis, un esprit qui peut prendre la forme d’une anguille géante les protège. Cette anguille est représentée par la forme étrange au dessus des têtes des jumeaux : voir Bengt Danielson, « Tahiti autrefois » in Mémorial polynésien et (en) John White, The Ancient History of the Maori, his Mythology and Traditions, vol. 5 « Tai’i-Nui », Wellington, New-Zealand government publ., (OCLC889957449, présentation en ligne)