« Visite virtuelle du Musée de Grenoble », sur france3-regions.francetvinfo.fr, (consulté le ) (Cliquez sur Zurbarán ou Picasso dans la mosaïque d'images.)
La statue Angélique attachée au rocher de François Truphème va rester jusqu'en 1982 au musée de Grenoble (soit 121 ans depuis 1861) puis est affectée au musée d'Orsay avant de revenir à Grenoble en 1994.
Céline De Potter, La gouvernabilité du risque : Du temps où les artistes étaient nos « meilleurs » ambassadeurs : art et politique étrangère dans les relations Belgique – France de 1919 à 1939, Pyramides, (lire en ligne), point 21 et note 23.
Jean Leclant, « Champollion, la pierre de Rosette et le déchiffrement des hiéroglyphes », Comptes rendus des séances de l'Académie des Inscriptions et Belles-Lettres, vol. 116, no 3, , p. 561 (lire en ligne)
Une vue de l'ancienne façade du musée avant son agrandissement est dépeinte dans le tableau d'Alexandre Debelle, La journée des Tuiles, 7 juin 1788, exécuté en 1890. Voir ici