(en) Cette page donne les noms des possesseurs du manuscrit et son prix d'acquisition (plus de 400 000 livres). On y voit notamment Charles Burney pour le XVIIIe siècle.
La ballade populaire se déroule par une mauvaise nuit en mer et a pour titre Captain Car« Sick, sick and very sick, / And sick and like to die; / The sickest night that I abode, / Good Lord have mercy on me. »« Malade, malade et très malade, / Et malade et comme mort ; / Maladif la nuit je demeurais, / Bon Seigneur, aie pitié de moi. » Shakespeare dans Beaucoup de bruit pour rien fait allusion à cette ballade (acte III, sc. 4). Héro parle : « Why, how now! Do you speak in the sick tune? »« Comment donc ! vous parlez sur un ton mélancolique ? » À quoi Béatrice répond : « I am out of all tune, methinks. » « Je suis hors de tous les autres tons, il me semble. ». Selon [1] les événements décrits par la ballade ont eu lieu en 1571. Par ailleurs, un morceau intitulé Sick, Sick a été autorisé [à la publication] en 1578.
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(en) Hilary Gaskin, « Baldwin and the Nevell hand », dans Alan Brown et Richard Turbet (éd.), Byrd studies, Cambridge University Press, , xvii-276 (ISBN0521401291, OCLC22888627, lire en ligne), p. 159–174.
(en) David Rowland, Early Keyboard Instruments: A Practical Guide, Cambridge University Press, coll. « Cambridge handbooks to the historical performance of music », , 175 p. (ISBN052164366X, OCLC809980834, lire en ligne), p. 32.
graner.net
Traité de danses de Thoinot Arbeau, Orchesographie et traicte en forme de dialogue, par lequel toutes personnes peuvent facilement apprendre & practiquer l'honneste exercice des dances, publié en 1589.
Ce titre serait la corruption de Colleen oge Asthore, une vieille ballade irlandaise qui raconte le malheur d'un aveugle qui ne peut admirer la jeune fille qu'il aime. Selon Kathleen Hoagland (éd), One Thousand Years of Irish Poetry. New York, 1947 p. 267) Colleen Oge Asthore est évoqué dans le Henry V de Shakespeare (acte IV, sc. 4) : « Quality? Calen O Casture me »[51]. Charles Villiers Stanford vers 1882, a arrangé la mélodie sur des paroles de Alfred Perceval Graves (1846–1931).
(en) Thurston Dart, « Two New Documents Relating to the Royal Music, 1584–1605 », Music & Letters, Oxford, Oxford University Press, vol. 45, , p. 16–21. (lire en ligne [archive du ], consulté le )
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worldcat.org
(en) Hilary Gaskin, « Baldwin and the Nevell hand », dans Alan Brown et Richard Turbet (éd.), Byrd studies, Cambridge University Press, , xvii-276 (ISBN0521401291, OCLC22888627, lire en ligne), p. 159–174.
Margaret Glyn (About Elisabethan Virginal Music, Londres, 1924 ; rep. 1934, p. 38–39, (OCLC221187440)) a même suggéré que les corrections effectuées par une autre main que Baldwin était peut-être de Byrd lui-même. Cité par Gaskin 1992, p. 169.
(en) David Rowland, Early Keyboard Instruments: A Practical Guide, Cambridge University Press, coll. « Cambridge handbooks to the historical performance of music », , 175 p. (ISBN052164366X, OCLC809980834, lire en ligne), p. 32.