Emanuela Scribano, « Descartes et les fausses idées », Archives de Philosophie, n°64, , p. 259-278 (lire en ligne) : « La fausseté des idées est dite matérielle, dans la mesure où elle s’oppose à la fausseté proprement ou formellement dite, qui ne se trouve que dans le jugement ; la fausseté matérielle indique, donc, une fausseté sans jugement ».
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Descartes, André Vergez et Christine Thubert, Intégrales de Philo - DESCARTES, Méditations métaphysiques, Nathan, (ISBN978-2-09-814037-0, lire en ligne)
Descartes, créateur d’un nouveau style métaphysique. Réflexions sur l’introduction du primat de la subjectivité en philosophie première, In: Revue Philosophique de Louvain. Troisième série, Tome 60, N°67, 1962. p. 369-393. (texte en ligne) : « Avec Descartes — et malgré les indéniables attaches qui le relient à la scolastique - il faut cependant parler d’une orientation vraiment nouvelle et dont les conséquences, en métaphysique, seront incalculables ».
Descartes, créateur d’un nouveau style métaphysique, Réflexions sur l’introduction du primat de la subjectivité en philosophie première, In: Revue Philosophique de Louvain. Troisième série, Tome 60, N°67, 1962. p. 369-393, (texte en ligne) : « Descartes lui-même n’a-t-il d’ailleurs pas avoué le but qu'il poursuivait, dans une lettre à Mersenne, du 28 janvier 1641 : « Je vous dirai, entre nous, que ces six méditations contiennent tous les fondements de ma physique. Mais il ne faut pas le dire, s’il vous plaît ; car ceux qui favorisent Aristote feraient peut-être plus de difficulté de les approuver ; et j’espère que ceux qui les liront s’accoutumeront insensiblement à mes principes, et en reconnaîtront la vérité avant que de s’apercevoir qu’ils détruisent ceux d’Aristote ».
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Ferdinand Alquié, « DESCARTES (R.) », sur l’Encyclopædia Universalis (consulté le ) : « Dès 1629, il entreprend l'étude des météores. En 1631, à propos du problème de Pappus, que lui avait proposé Golius, il découvre les principes de la géométrie analytique. Il étudie l'optique. Et, en 1633, il a terminé son grand ouvrage : le Traité du monde ou de la lumière (dont faisait partie ce que nous appelons aujourd'hui le Traité de l'homme). Il y soutient le mouvement de la Terre ».
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Eden Glaise (Descartes disait dans ses Méditations métaphysiques que la « volonté étant beaucoup plus ample et plus étendue que l'entendement », l'erreur apparaît.), Demain, la société : L'équilibre dynamique des valeurs (essai), Paris, Le lys bleu éd., (ISBN978-2-37877-744-9), chap. 1, p. 23