« Nadav Lapid, Israélien touche-à-tout, ne croit plus à la « normalité » d'un pays « aveuglé » », Le Monde, (lire en ligne, consulté le )
« "La Petite Amie d'Emile" », Le Monde, (lire en ligne, consulté le )
« Nadav Lapid : "A 18 ans, j'étais un cow-boy qui rêvait de devenir un héros de la patrie" », Le Monde, (lire en ligne, consulté le )
« « L'Institutrice » : quelques grammes de poésie dans un monde de brutes », Le Monde, (lire en ligne, consulté le )
« « Tikkoun » et « Journal d’un photographe de mariage » : deux cinéastes israéliens aux franges de l’étrange », Le Monde, (lire en ligne, consulté le )
« Cannes 2021 : « Le Genou d’Ahed », les fantômes du désert de Nadav Lapid », Le Monde, (lire en ligne, consulté le )
« Cannes 2025 : « Yes », grand film malade de Nadav Lapid, scrutant l’effroi du monde post-7 octobre 2023 », Le Monde, (lire en ligne, consulté le )
« Cannes 2025 : Nadav Lapid fait un nouvel adieu à Israël avec « Yes » », Le Monde, (lire en ligne, consulté le )
« Nadav Lapid, réalisateur : « En Israël, les autorités n’ont pas besoin d’opprimer les gens, ils s’oppriment très bien eux-mêmes » », Le Monde, (lire en ligne, consulté le )