Emmanuelle Pesqué, « 1797 – Nancy Storace chante Mozart à Paris ! », sur Nancy Storace (1765-1817) - Ann Selina, 'L'Italiana in Londra' - L'art et la vie d'une cantatrice des Lumières, (consulté le )
"Un florilège des partitions écrites pour Ann, réalisé par Dorothea Link, atteste que sa tessiture allait approximativement du la2 au la4 (voire la#4 ou si bémol4) , soit une tessiture proche de ce que nous appelons aujourd’hui une mezzo-soprano , le terme étant peu usité à son époque. Elle semble avoir eu une excellente voix de poitrine et de beaux graves, ce dont témoigne l’écriture des airs mozartiens." (E. Pesqué, Nancy Storace, Muse de Mozart et de Haydn, 2017, p.13)