« Nicolas Clauss, l'auteur », sur arte.tv, (consulté le ). Extrait : « Il pose les pinceaux en 2000 pour utiliser principalement les outils des nouveaux médias et créer ses tableaux visuels et sonores d’un nouveau genre et ses installations génératives et interactives. ».
connaissancedesarts.com
« Nicolas Clauss », sur connaissancedesarts.com (consulté le ).
« En ligne pour un ailleurs », sur liberation.fr, (consulté le ). Extrait : « Cinq ailleurs est aussi très différent des collages sépia interactifs qui ont fait connaître et apprécier l'artiste Nicolas Clauss (Prix spécial au récent FlashFestival du Centre Pompidou, Grand Prix de la Scam pour le site collectif LeCielEstBleu). »
Annick RIVOIRE, « Nicolas Clauss, des clics pleins d'éclat », sur liberation.fr, (consulté le ). Extrait :« Six mois et des week-ends de travail plus tard, le site De l'art si je veux est un point de vue sur la création d'une fraîcheur rare. Nicolas Clauss a fait «le pari un peu bizarre de demander à des gens qui ne connaissent rien à l'art, parce qu'ils sont trop jeunes et que leurs parents n'ont aucune idée sur le sujet, de se confronter à des bouquins et à [son] travail, pour faire sortir des vérités». ».
« Heureux qui aux Ulis a posé ses bagages », sur next.liberation.fr, (consulté le ). Extrait : « J'ai 10 ans n'a rien à voir avec les sites qui attirent les enfants dans leur toile de couleurs vives. Pas assez ludique. Il donne un témoignage fort et authentique de ce qu'on nomme pudiquement «les enfants issus de l'immigration». ».
« Nicolas Clauss, un cœur qui bat », sur poptronics.fr, (consulté le ). Extrait : « « Un Palpitant » parle de la vie, la mort, l’amour… Tout ce que Nicolas Clauss recherche : « Mon travail renvoie à une esthétique de la rumeur, de voix multiples, de brides, de flux et de vies qui coexistent. Un mélange d’histoires, de rêves, de frustrations, dans une approche magique plus que sociologique. » ».