César de Proisy d'Eppe (en collaboration avec Pierre-Joseph Charrin, Alexis Eymery, René Perrin et Joseph Tastu), Dictionnaire des girouettes : nos contemporains peints d'après eux-mêmes … par une société de girouettes, Paris, Alexis Eymery, , 444 p. (lire en ligne).
books.google.com
Nicolas Roret, Nouveau manuel complet du blason ou code héraldique, archéologique et historique : avec un armorial de l'Empire, une généalogie de la dynastie impériale des Bonaparte jusqu'à nos jours, etc..., Encyclopédie Roret, , 340 p. (lire en ligne)
Le collège Saint-Claude avait été fondé en 1769 par l'évêque Claude Drouas pour remplacer le collège Saint-Léon qui périclitait. Le terrain choisi par l'évêque
était contigu à l'abbaye et au collège Saint-Léon, et les bâtiments des deux collèges se trouvent dans la rue du Collège, dans le centre de Toul (emplacement de l'actuel collège Amiral-de-Rigny). Une rue adjacente porte malencontreusement le nom de rue du collège Saint-Claude (« Études touloises » sur les noms de rues du vieux Toul (lire en ligne [PDF])).
Caroline Ehrhardt et Renaud d’Enfert, « La statistique éducative, outil de gouvernement et de mobilisation des enseignants ? Le cas de l'enquête de l'an VII sur les écoles centrales », Histoire & mesure, vol. XXIX, no 1, , p. 9-40 (lire en ligne, consulté le ).
vosges.fr
recherche-archives.vosges.fr
De nombreuses sources mentionnent à tort les prénoms « Nicolas Louis », mais son acte de baptême (Actes de baptême Saffais 1663-1792, Archives départementales de Meurthe-et-Moselle, cote 5 Mi 467/R 1, , vue 192), l'acte de son deuxième mariage (Actes de mariage Mirecourt 1782-1783, Archives départementales des Vosges, cote Edpt309/GG_43-48404, , vue 18consulter en ligne), et son acte de décès (Actes de décès Paris 10e 10 au 12/01/1828, Archives de Paris, cote 5Mi1 1222, , acte reconstitué le , vue 38) n'indiquent que Nicolas comme prénom. (Les actes de ses autres mariages et des décès de ses épouses ont disparu dans l'incendie des Archives de Paris, en mai 1871.) Saffais n'est situé qu'à une demi-douzaine de kilomètres de Saint-Nicolas-de-Port, où Nicolas de Myre est vénéré comme saint patron de la Lorraine. Il était autrefois très fréquent dans la région de faire porter son nom aux garçons pour les mettre sous sa protection.