Lalande lui attribuera faussement un nom de naissance « Étable de la Brière », qui n'était pas le sien. « Il ne s'agit pas d'un nom de naissance, mais d'une « rallonge » tardive » (Demouzon). Ce patronyme rallongé fut celui choisi par l'un de ses frères, Jean Jacques, né à Versailles en 1716 et devenu inspecteur des bâtiments du roi sous le nom de « Monsieur de la Brière ». Quand, en 1757, Mme Lepaute signe le contrat où Lalande prête de l'argent à son ménage, elle signe « Nicole Reine Étable » ; pas de mention de « Brière ». Voir Demouzon. Alain Demouzon, « De la bruyère dans l'étable », dans Au fil du temps, dernière révision : août 2012. Alain Demouzon, « De la bruyère dans l'étable », dans Au fil du temps, dernière révision : août 2012.
Pierre Larousse, dont l'article (dans le Grand dictionnaire universel du XIXe siècle, t. 10, p. 382) fourmille d'erreurs, ne dit pas pourquoi il affirme que le Traité d'horlogerie de Jean André Lepaute « est en grande partie l'œuvre de sa femme ».