La Croix du Maine, François Grudé (sieur de...), Bibliothèque du sieur de La Croix Du Maine, A. L'Angelier, Paris, 1584, dans : Rigoley de Juvigny, Les bibliothèques françoises de La Croix-du-Maine et de Du Verdier, Tome 1, Saillant et Nyon, Paris, 1772, Notice sur Jacques Grévin, p. 415.
Nicole Estienne, Sonnet liminaire à Baptiste Badere, Dévotes méditations chrestiennes, sur la mort, Guyon Giffart, Paris, 1588. Jacques Lavaud, Quelques poésies oubliées de N. Estienne, Revue du seizième siècle, 18, 1931, p. 350.
Maîtresse est ici entendu au sens de : fille ou femme recherchée en mariage, ou, simplement, aimée de quelqu'un, ainsi dite de l'empire qu'elle exerce sur l'homme qui l'aime. Littré
Paris, BnF, Mss, 500 de Colbert, 500 fol 87-93. Cahier inséré dans un recueil factice de pièces sur les Villeroy (Madeline de l'Aubespine, initiatrice dans son salon de la querelle du mariage, avait pour second mari le secrétaire royal Villeroy). Transcription : Nicole Estienne, J'estonne le ciel, Stanzes du mariage de Madame Liebault, dans : Hélène Cazes, Nicole Estienne à ses miroirs : félicités de mariage et misères de la femme mariée, in Devis d’amitié, Mélanges en l’honneur de Nicole Cazauran, J. Lecointe, C. Magnien, I. Pantin et M.-C. Thomine ed, Paris, Champion, 2002, p. 12-15.