La réalité de cette lettre est parfois sujette à caution. Mentionnée par Michel Psellos, il pourrait en fait s'agir d'une lettre de Basile II envoyée à Bardas Phocas un siècle plus tôt, auquel cas la référence à la famille des Phocas n'impliquerait pas que Nicéphore Botaniatès y soit apparenté. Voir Eric Limousin, « L'échec des empereurs dans la Chronographie de Michel Psellos », dans L'échec en politique, objet d'histoire, Paris, Marne-la-Vallée, , 245-256 p. (lire en ligne).
Sur la prétention de Nicéphore d'être apparenté à la famille des Phocas et la pratique des prétendants au trône à renforcer leur légitimité par la généalogie, voir (en) Nathan Leidholm, « Nikephoros III Botaneiates, the Phokades, and the Fabii: embellished genealogies and contested kinship in eleventh-century Byzantium », Byzantine and Modern Greek Studies, Cambridge University Press, , p. 185-201 (lire en ligne)
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Voir à ce sujet Jean-Claude Cheynet, « La Résistance aux Turcs en Asie Mineure entre Mantzikert et la Première Croisade », dans ΕΥΨΥΧΙΑ, Mélanges offerts à Hélène Ahrweiler, Publications de la Sorbonne, , 131-147 p. (ISBN9782859448301, lire en ligne)
Jean-Claude Cheynet et Jean-François Vannier, « Les Premiers Paléologues », dans Etudes prosopographiques, Publications de la Sorbonne, (ISBN9782859441104, lire en ligne), p. 133-134.
persee.fr
Vivien Prigent, « Le stockage du grain dans le monde byzantin (VIIe-XIIe) », Mélanges de l'école française de Rome, vol. 120-1, , p. 35-36 (lire en ligne).
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(en) Lynda Garland, « Mary of Alania », sur roman-emperors.org, De Imperatorius Romanis, (consulté le )